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Paroisse St Pierre-St Paul
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13 mars 2015

Le mot du curé du mois de mars

 

Enfanter à la sainteté.

 

C’est déjà la mi-carême…. Le chemin vers Pâques est déjà bien entamé. Où en sommes-nous ?

 

Dieu a voulu nous donner son propre Fils, Il s’est livré pour chacun d’entre nous, pour moi, parce qu’Il m’aime. Pourtant, je dois me rendre à l’évidence que nous sommes bien pauvres et que toutes les intentions d’efforts et d’offrandes ne sont qu’une petite goutte d’eau comparé à l’offrande du Christ. Et pourtant Il m’aime. Pourquoi persévérer pendant le carême ? Pourquoi se donner tant de peine et voir si peu de résultat ? La persévérance vérifie la qualité de notre foi nous dit saint Paul. Voilà qui est encourageant. Oui, persévérer pour montrer à Dieu notre fidélité, notre amour. Lui offrir nos vies humblement, nous en remettre à Lui comme un petit enfant contre son père.

 

Voilà pour nous tous un peu de réconfort, se blottir contre Dieu, contre son cœur aimant en acceptant d’être façonné petit à petit, au plus intime de nos vies. Oui, Il est là. Il est là, Il est là. Il veille sur nous, Il ne nous abandonne pas, Il nous regarde avec bonté et miséricorde. Alors oui, je veux fixer mon regard sur Jésus Christ, je veux le contempler sur la Croix, je veux me tenir auprès de Lui et Lui offrir mes sacrifices, mes regards, mes actes d’amour, mes pleurs et mes joies. Je veux tout Lui donner bien que je sois si petit. Voilà comment persévérer dans le carême. Car même si je ne sais pas bien t’aimer Seigneur, je le désir au plus profond de moi.

 

En regardant l’offrande de Jésus sur la Croix, je peux désirer aussi m’offrir à Jésus qui me conduit vers le Père. En regardant Jésus donner sa vie, je désir donner ma vie pour mes frères, sans les juger, sans les critiquer, juste en découvrant qu’ils sont tous faibles et pourtant aimés particulièrement de Dieu.

 

Que l’amour de Dieu nous donne l’amour des frères.

 

Soyez bénis.

 

Monsieur le curé Michel Dejouy

 

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13 février 2015

LE MOT DU CURE

Mot du Curé  février 2015

 

Mes biens chers paroissiens, nous voilà en février (déjà bien commencé) et toujours pas de mot du curé, mais ça y est, c’est fait.

 

J’étais à Assise avec notre Evêque et les jeunes prêtres de moins de dix ans de sacerdoce et puis je n’ai pas eu beaucoup de temps en rentrant alors c’est maintenant seulement que je parviens à écrire quelques mots.

 

Mais cela tombe plutôt bien, c’est juste avant le DEP de dimanche à Blausasc et quelques jours avant le carême que je vous écris. Je me demandais justement comment nous abordions ce temps du carême qui nous invite à nous resituer dans notre rapport au Christ vainqueur de la mort.

 

Oui, ce temps de pénitence est aussi le temps où nous regardons le Christ Jésus opérer la chose la plus extraordinaire de tous les temps : le Salut du monde.

 

Alors que notre vie est jonchée de joies et de peines, nous pourrions être tentés de nous enfermer sur nous-mêmes et perdre confiance en Jésus. Et c’est là que Satan est rusé. Il nous laisse penser que Dieu n’est plus assez proche de nous, que nous sommes seuls et malheureux… mais non, il se trompe. Quel menteur. Il veut nous faire croire que Jésus n’est plus notre Sauveur personnel, qu’Il n’est pas pour moi le Rédempteur.

 

               La relation intime avec Jésus, voilà la question.

 

Nous sommes noyés dans un monde où la personne humaine n’a plus de valeur pour elle-même. Tout est fait pour croire que nous avons beaucoup de connaissances, d’amis, de relations etc… et pourtant tellement de personnes se sentent seules. Tout est fait pour avoir des plaisirs personnels et pourtant rien ne comble les cœurs. Mais Jésus nous permet de comprendre que c’est l’inverse pour Lui. Oui j’existe à ses yeux, je compte pour Lui. C’est moi qu’Il a sauvé et c’est à moi qu’Il adresse son amour. En Le regardant Lui, en redécouvrant qu’Il m’aime, je peux devenir frère de toutes les créatures qu’Il a créé par amour. Je peux les aimer vraiment.

 

Alors debout ! Fixons notre regard sur le Christ. Choisissons de vivre ce carême de tout notre cœur car c’est seulement en nous convertissant sans cesse que nous serons à la fois heureux personnellement et dans la joie de la vraie communion entre nous. Oui armons nous de Jésus et laissons-Le nous transformer en Lui.

 

Paix et vérité à chacun et à tous.

 

Monsieur le curé, Michel Dejouy

 

NDLR: Cette année le Carême  débute le 18 février, Mercredi des Cendres.

1er Dimanche de Carême donc, le dimanche 22 février.

 

8 janvier 2015

Le MOT du curé

6 décembre 2014

LE MOT DU CURE Décembre 2014

 

Joyeuse et sainte année à vous tous et à chacun.

Nous sommes entrés dans une nouvelle année liturgique qui nous convie à suivre la vie de Jésus avant toute chose. En commençant cette nouvelle année, c’est tout d’abord l’année passée que nous pouvons remettre au Seigneur mais c’est aussi l’année qui vient que nous pouvons lui demander de soutenir, guider, couronner.

Une nouvelle année, ce n’est pas simplement un bis repetita de l’année écoulée, mais une nouvelle mesure de ce que nous sommes pour améliorer notre vie. Améliorer ce que nous sommes convient à des êtres humains. Nous ne sommes pas faits pour végéter mais pour inscrire notre volonté dans le projet de Dieu pour nous avec humilité. Nous savons bien que nous sommes faibles mais nous savons aussi que le Seigneur peut tout faire en nous.

Alors que voulons-nous ?

Le premier temps qui nous est donné est celui de l’Avent, c’est le temps de l’attente pour laisser venir le Christ en nous. C’est par là que nous devons commencer. Humblement avec la Sainte Vierge Marie, accepter que Dieu prenne toute la place en nous.

Si nous le demandons humblement, notre désir de Dieu va croître en nous, notre cœur s’enflammer progressivement du désir de vivre de Lui, notre vie se transformer doucement.

Prenons l’exemple de Saint Jean Baptiste, il nous demande de préparer le chemin du Seigneur. C’est un chemin intérieur qui nous dépouille de nous-mêmes pour laisser la place à Jésus Christ. Osons croire qu’Il peut faire sa vie en nous. Osons croire qu’Il désire habiter en nous. Osons croire qu’Il peut nous rendre plus saint que nous ne le voulons car si nous ne savons pas êtres saints par nous-mêmes, Lui est notre sainteté.

Merci Seigneur pour cette nouvelle année, nous vous la remettons entre vos mains.

Que chacun soit béni

Votre curé, Michel Dejouy

 

9 novembre 2014

LE MOT DU CURE Novembre 2014

 

Il en faut peu pour être chrétien :

Juste parler à Dieu,

Juste aimer son prochain,

Juste pardonner,

Juste être miséricordieux avec soi-même et les autres,

Juste servir,

Juste méditer,

Juste construire la paix,

Juste se laisser guider,

Juste aimer la vérité,

Juste respecter la vie,

Juste être façonné,

Juste favoriser les relations,

Juste aimer l’Eglise,

Juste souffrir en silence,

Juste croire,

Juste espérer,

Juste persévérer,

Juste oser  tout pour Dieu en vue du ciel.

Que Dieu vous bénisse et que vos cœurs soient embrasés de Son AMOUR

 

 

 

 

 

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8 octobre 2014

Le mot du curé octobre 2014

 Dans la vigne du Seigneur, la tour de garde est la prière.

               Aujourd’hui, je suis heureux de vous avoir vu si nombreux à la salle saint Roch à Blausasc. Les DEP restent notre rendez-vous familial mensuel. L’Evangile que nous avons reçu ce dimanche 5 octobre nous invite à travailler à la vigne du Seigneur et j’insistai simplement sur cette tour de garde que je vois comme étant la prière.

C’est notre thème de l’année : la prière. Avec nos échanges, entre grands et petits, il me semble que nous sommes tous touchés par ce sujet. Oui, comment prier, qu’est-ce que la prière, quelles conditions pour prier … nous sommes dans les mains de Dieu et saint Paul nous rappelle que c’est l’Esprit Saint qui nous permet de prier comme il faut parce que nous ne savons pas vraiment prier.

En se mettant à l’école de la prière, nous sommes invités à veiller les uns sur les autres, à construire notre famille qu’est la paroisse. C’est bien ce que dit le pape François : la paroisse doit être la famille des familles.

C’est en paroisse que nous pouvons travailler humblement à la vigne du Seigneur et je veux tous vous remercier de tout mon cœur. Pendant que certains travaillaient à l’organisation du DEP, d’autres priaient auprès de malades, d’autres travaillaient au vide grenier, d’autres étaient en retraite, d’autres petites oreilles prenaient le temps d’écouter…. Et tout cela par ce que nous aimons être les uns avec les autres, parce que nous aimons vivre ensemble selon l’Evangile, parce que nous savons que nous grandissons les uns avec les autres à la suite du Christ.  

C’est un grand défi qui nous attend mais c’est surtout un magnifique chemin. Prions donc dès aujourd’hui en demandant la grâce d’être guidés par le Saint Esprit et que notre vie soit le témoignage du Christ vivant pour le monde.

Que la prière soit notre tour de garde pour faire fructifier la vigne que le Seigneur nous confie.

Que Dieu vous bénisse tous et encore merci à chacun d’entre vous.

Michel Dejouy, votre curé.

 

10 septembre 2014

LE MOT DU CURE SEPTEMBRE 2014

 Bonne rentrée à vous tous.

Après un été qui a certainement reposé les corps et les esprits, nous voilà repartis pour une nouvelle année scolaire avec peut-être des désirs de grandir à tous les niveaux.

Pourtant, nous savons que l’esprit est prompt à changer mais que la chaire est faible.  D’autant plus que le contexte national et international ne nous laisse pas indifférent. Rythme scolaire changé, politique qui fait douter, argent à surveiller dans nos portes monnaies, massacres des chrétiens en Irak, pardon, génocide. Etc etc…  que sera notre nouvelle année ? Serons-nous toujours les mêmes ou sommes nous prêts à changer vraiment ?

Il faut parfois se donner un bon coup de pied dans les fesses pour se renouveler. Oui, mais si nous le faisons avec orgueil et juste par soi-même, nous n’irons pas bien loin et finalement, en voulant tout révolutionner, nous retomberons encore plus bas en peu de temps.

C’est pourquoi la prière est le premier et meilleur moyen de nous recentrer sur l’essentiel pour qu’avec le Seigneur, la puissance de l’Esprit Saint vienne nous transformer, nous porter, nous conduire vers la vraie vie.

Dans la paroisse, nous avons choisi de mettre en valeur la prière cette année. C’est au cours des DEP que nous apprendrons à nous recentrer sur le Christ Jésus de tout notre cœur et nous nous retrouverons une fois par mois pour développer ce sujet qui touchera tous les cœurs. Mais en parlant de tout cela, je me rends compte que c’est par la prière que nous devons confier notre projet d’apprendre à prier, alors prions. Prions simplement comme nous le pouvons. Tous les jours et tout le temps, par nos paroles et nos actes mais de tout notre cœur. Voici une prière composée par un paroissien qui a été adoptée par une équipe de la paroisse. Je vous invite à  la dire sans relâche et à tout confier à Dieu par Marie notre sainte Mère du Ciel.

 

PRIERE POUR NOTRE PAROISSE SAINT PIERRE-SAINT PAUL

 

Père Eternel et Tout-Puissant

En ton Fils Jésus,

Tu nous appelles à vivre de l’Esprit.

 

Ce même Esprit qui de l’Annonciation à l’Assomption,

Emplît Marie, Notre Mère,

Dans les mains de laquelle nous déposons le devenir de notre paroisse.

 

Accorde-nous Père,

A l’image de l’unité trinitaire,

De vivre chaque chose dans l’accueil, l’écoute

Et une communion fraternelle joyeuse.

 

Que toutes nos actions soient à jamais au service de l’Eglise

Que tous nos plans soient vains s’ils ne sont de toi.

 

Que tous ceux que tu nous envoies,

Puissent voir comme un reflet de ton Fils,

Dans l’accueil que nous leurs offrons.

 

Que toutes nos « œuvres » n’aient d’autre but

Que de te faire connaître et aimer.

 

Accorde-nous discernement, force et abandon à ta volonté,

Pour l’unique gloire de ton Fils,

Par l’intercession de la Vierge Marie

 

Amen !  

 

Que Dieu vous bénisse et vous garde.

Michel Dejouy, prêtre de Jésus  Christ.

 

 

 

1 août 2014

LE MOT DU CURE JUILLET/AOUT 2014

 

L’été est là…

Bienfaisance de la nature, le Seigneur a voulu que les mois chauds soient des mois que l’homme a choisi pour le repos, du moins en France. Et ce temps nous est donné pour changer un peu nos habitudes et peut-être même pour nous recentrer sur l’essentiel.

Quel est notre essentiel ?

Certains voudrons aller à la plage, d’autres en vacances, d’autres oublier l’année passée… certains doivent fuir leur pays parce qu’ils sont persécutés ; d’autres souffrir de la mort de leurs proches ; d’autres vivre des baptêmes et des mariages… mais dans toutes choses, comment choisissons-nous de vivre ?

Nous vivons les uns avec les autres et nous pouvons choisir de vivre ce temps estival comme une remise en question de nos manières d’être même si nous n’arrivons pas à nous changer nous –mêmes.  Le temps ne s’arrête jamais et il n’est pas question de se poser seulement la question de savoir combien de temps il nous est donné et de remettre à demain ce que nous devons faire mais la question est de savoir ce que je fais du temps qui m’est donné.

Comment puis-je être meilleur avec mon voisin ? Comment vivre les rencontres d’aujourd’hui et de demain ?  Comment vivre avec moi-même ?  Et surtout, comment prendre le temps d’être avec mon Seigneur et mon Dieu ?

Il n’y a pas de réponses toutes faites. Il y a une possibilité : le désir d’entrer en soi pour se laisser toucher par la grâce de Dieu et se laisser façonner en profondeur. Notre doux Sauveur Jésus nous invite à chercher le royaume avant toutes choses et le reste nous sera donné.

Oui je crois profondément que Jésus nous a donné son Esprit Saint qui agit en nous si nous sommes près de Lui. Oui je crois que ce temps d’été est un temps pour s’en remettre au Saint Esprit. Oui, je crois que la prière est le meilleur repos pour chacun d’entre nous.

Je nous invite donc à oser prendre les moyens qui permettent de se recentrer sur l’essentiel : le Dieu unique de Jésus Christ. Ce Dieu d’amour qui nous aime et souffre avec nous, ce Dieu qui est présent dans nos Eglises et qui attend notre passage. Ce Dieu patient et amoureux de chacun d’entre nous.

Que cet été soit une vrai prise de risque avec le Seigneur ; Je vous confie tout ce que je suis Seigneur et tous ceux que je rencontre.

Que Dieu vous bénisse et vous comble de son amour.

 

3 juin 2014

Le mot du Curé, JUIN 2014

 

Quelle définition de l’amour donneriez-vous aujourd’hui ?

Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie…. Même pour nos ennemis mais d’abord déjà entre nous…

Notre Sauveur Jésus Christ nous l’a dit et bien sûr, Il l’a fait. Son exemple est on ne peut plus parlant. C’est profondément encourageant de méditer sur le don de la vie que Jésus a fait et cela nous permet aussi de nous appuyer sur Lui. Oui, aimer, c’est tout donner et se donner soi-même.

Dans notre monde, qui a ses qualités et ses défauts, il y a un mal pernicieux. Celui de l’égoïsme, de l’indifférence. Certes, c’est agréable de savoir que telle ou telle personne nous apprécie, nous aime, mais en même temps, de quel amour parlons-nous ?

Quelle définition de l’amour donneriez-vous aujourd’hui ?

Nous avons les réseaux sociaux, les nouvelles par internet ou autres média,  le téléphone, mais nous avons peut-être aussi besoin d’une relation qui soit toujours plus proche du titre de chrétien.

En ce temps qui nous prépare à la Pentecôte et le temps qui suivra, nous pouvons nous poser la question du don de l’Esprit Saint que nous allons recevoir encore cette année. Dieu ne veut pas nous abandonner, Il s’offre à nous par la troisième Personne de la Trinité pour pouvoir vivre en nous de manière subtile, discrète. Il veut demeurer au fond de nous de manière cacher, pour que nous puissions toujours le chercher du fond de notre cœur, le désirer, l’appeler, le laisser travailler en nous. Mais pourquoi ? Pour que nous puissions être unis comme le Père, le Fils et le Saint Esprit sont unis. Que nous soyons uns comme Ils sont un ! Pour que le travail de l’âme soit le travail de la paroisse !

Quelle définition de l’amour donneriez-vous aujourd’hui ?

Oui, le chrétien est au monde ce que l’âme est au corps, et que dirions-nous d’une âme égoïste qui ne s’intéresse pas au corps ? Qu’elle est une mauvaise âme. Ainsi en est-il du chrétien qui ne vit pas en sa communauté la fraternité, la charité, le don de soi. Comme nous sommes en chemin sur cette terre, nous devons aussi apprendre la persévérance et l’humilité…  Ainsi, pour être une âme qui s’occupe de son corps, il faut aussi que l’âme soit sereine, en paix. Elle doit donc se donner les moyens d’être saine. Cela ne peut se faire tout seul, il faut être entouré, soutenu, en face de soi-même en vérité. Alors, forte des autres, l’âme, comme le chrétien, peut prendre soin avec amour de son corps, comme du monde.

Le don de l’Esprit Saint est un don qui vient investir notre âme dans sa capacité de volonté, d’amour, pour mettre en œuvre l’Evangile dans nos vies, au quotidien. C’est un cadeau immense que nous devons demander. Oui, que nos âmes soient investies de la puissance d’Amour Divin, que nos liens se resserrent pour être les témoins que l’amour est possible dans notre monde d’égoïsme et d’indifférence.

Seigneur, je vous en supplie, embrasez nos cœurs et soutenez notre route vers la patrie céleste.

Que le Dieu d’amour vous bénisse et vous garde en paix, soyez bénis de tout mon petit cœur,

Michel Dejouy, prêtre de Jésus Christ.

 

13 mai 2014

le mot du curé du mois de Mai 2014

 

Joie et paix à tous de notre Seigneur Jésus Christ

               La joie de Pâques n’est pas encore finie !!! Nous sommes toujours dans le temps pascal jusqu’à l’Ascension et ce temps nous est donné pour accueillir les grâces que Jésus veut nous offrir.

               Les grâces sont infinies mais nos cœurs et nos esprits sont lents à comprendre et à accepter de tels cadeaux.

               J’ai trouvé cette semaine Sainte merveilleuse, les fêtes de Pâques splendides, le pèlerinage à Assise et Florence aussi. Et déjà plusieurs baptêmes, mariages, communions, confirmations etc… qui se suivent et se poursuivent… sans parler des messes, des temps de prières et les rencontres quotidiennes ; oui, tout cela est don de Dieu Lui-même et nous contribuons tous à les rendre présent dans nos vies (merci à tous, oui merci).

Mais est-ce que je me rends compte que toutes ces grâces rythment nos vies, nos âmes, et que c’est Jésus qui nous les offrent ?

Le soleil s’est levé ce matin… avez-vous remarqué ? Et vos yeux se sont ouverts… pas pour tous, cela est vrai. Mais quel est ce don de la vie que nous avons reçus ? Personne n’a demandé à vivre et pourtant nous sommes là. Et en plus, ô merveille, le Christ a vaincu la mort par amour pour nous afin que nous retrouvions notre place auprès de Dieu. Que nous participions à sa Divinité. Mais quelle joie immense. Oui, je suis dans la joie, une joie immense ! Ce n’est pas comme si les tentations ou les faiblesses, les péchés ou les ras le bol avaient disparues, non, mais il y a cette profonde foi et cet émerveillement devant le Salut que Dieu nous offre en Jésus Christ et qui dépasse toutes angoisses ou pessimismes.  

Alors Deo Gracias Seigneur pour toutes les merveilles que vous nous donnez par pur amour pour nous et nous, puissions-nous les vivre avec la joie de la résurrection et la flamme de l’espérance. Merci pour notre nouvel Evêque et prions pour son nouveau ministère.  Augmentez, Seigneur en nous, la foi l’espérance et la charité. Merci.

Que chacun soit béni et certain que Dieu ne nous abandonnera jamais, Il nous aime trop pour ça… 

Votre curé, Michel Dejouy

Prêtre de Jésus Christ

 

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