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Paroisse St Pierre-St Paul
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26 mars 2015

SEMAINE SAINTE

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19 mars 2015

Jour de la saint Joseph

en ce jour de la saint Joseph, nous vous proposons un reportage trouvé sur la chaîne KTO.

Bonne fête de saint Joseph à tous!

 

HORS LES MURS Sur les pas de Saint Joseph

Diffusé le 17/03/2011 / Durée 52  mn

À quelques jours de la Saint Joseph, "Hors-les-Murs" vous emmène à la découverte du culte de saint Joseph, en plein renouveau en France. Des papas aux demandeurs d'emploi en passant par les moines et moniales, quelle est la place du père adoptif de Jésus dans le quotidien de nos communautés chrétiennes ? Depuis le chantier du Monastère de Mont-Rouge à Puimisson dans l'Hérault, David Milliat vous accompagne à la rencontre de la famille Saint Joseph du père Verlinde. Un voyage spirituel qui vous mènera également sur de nombreux lieux de dévotions joséphins : à Cottignac en Provence, à Allex dans la Drôme, à Mont-Luzin dans le Rhône, à Beauvais en Picardie ou même à Montréal, au Canada...

Cliquer sur le lien ci-dessous pour voir le reportage:

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=mcBlUe7Bdzw

 

 

 Prière à saint Joseph

 Je vous salue, Joseph,
Vous que la grâce divine a comblé.
Le sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux.
Vous êtes béni entre tous les hommes, et Jésus, l’enfant divin de votre virginale épouse, est béni.
Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous,
dans nos soucis de famille, de santé et de travail,
jusqu’à nos derniers jours,
et daignez nous secourir à l’heure de notre mort.

Amen.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

17 mars 2015

MESSAGE DE CAREME D'UN "MENDIANT"!

 

AIMES-MOI TEL QUE TU ES !

"Je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme, la faiblesse et les infirmités de ton corps ; je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances. Je te dis quand même : donne-moi ton cœur, aime-moi comme tu es.

Si tu attends d’être un ange pour te livrer à l’amour, tu n’aimeras jamais. Même si tu retombes souvent dans ces fautes que tu ne voudrais jamais connaitre, même si tu es lâche dans la pratique de la vertu, je ne te permets pas de ne pas m’aimer.

Aime-moi tel que tu es, je veux l’amour de ton cœur indigent ; si, pour m’aimer, tu attends d’être parfait, tu ne m’aimeras jamais. Ne pourrais-je pas faire de chaque grain de sable un séraphin radieux de pureté, de noblesse et d’amour ? Ne pourrais-je pas d’un seul signe de ma volonté, faire surgir du néant des millions de saints mille fois plus parfaits et aimants que ceux que j’ai créés ? Ne suis-je pas le Tout Puissant ? Et s’il me plaît de laisser pour jamais dans le néant ces êtres merveilleux et de leur préférer ton pauvre amour ?

Mon enfant, laisse-moi t’aimer, je veux ton cœur. Je compte te former, mais en attendant, je t’aime comme tu es. Et je souhaite que tu fasses de même. Je désire voir du fond de ta misère monter ton amour.

J’aime en toi jusqu’à ta faiblesse. J’aime l’amour des pauvres. Je veux que de l’indigence s’élève constamment ce cri : « Seigneur je vous aime ! » C’est le chant de ton cœur qui m’importe. Qu’ai-je besoin de ta science et de tes talents ? Ce ne sont pas des vertus que je te demande ; et si je t’en donnais, tu es si faible que bientôt l’amour propre s’y mêlerait, ne t’inquiète pas de cela.

J’aurais pu te destiner à de grandes choses ; non, tu seras le serviteur inutile, je te prendrais même le peu que tu as, car je t’ai créé par amour. Aime ! L’amour te fera faire tout le reste sans que tu y penses ; ne cherche à remplir que le moment présent de ton amour.

Aujourd’hui je me tiens à la porte de ton cœur comme un mendiant, moi, le Seigneur des Seigneurs. Je frappe et j’attends, hâte-toi de m’ouvrir, n’allègue pas ta misère. Cela seul qui pourrait me blesser le cœur, serait de te voir douter et manquer de confiance.

Je veux que tu penses à moi à chaque heure du jour et de la nuit, je ne veux pas que tu poses l’action la plus insignifiante pour un motif autre que l’amour. Quand il te faudra souffrir, je te donnerai la force ; tu m’as donné l’amour. Je te donnerai d’aimer au-delà de tout ce que tu peux rêver. Mais souviens-toi, aime-moi tel que tu es, n’attends pas d’être un saint pour te livrer à l’amour, sinon tu n’aimeras jamais."

 

Ce texte, paru dans un bulletin monastique (1940) et d’un auteur inconnu. Pour certain, ce texte est de Saint Augustin.

 

Tiré du site : histoires-saintes.over-blog.com

 

13 mars 2015

Le mot du curé du mois de mars

 

Enfanter à la sainteté.

 

C’est déjà la mi-carême…. Le chemin vers Pâques est déjà bien entamé. Où en sommes-nous ?

 

Dieu a voulu nous donner son propre Fils, Il s’est livré pour chacun d’entre nous, pour moi, parce qu’Il m’aime. Pourtant, je dois me rendre à l’évidence que nous sommes bien pauvres et que toutes les intentions d’efforts et d’offrandes ne sont qu’une petite goutte d’eau comparé à l’offrande du Christ. Et pourtant Il m’aime. Pourquoi persévérer pendant le carême ? Pourquoi se donner tant de peine et voir si peu de résultat ? La persévérance vérifie la qualité de notre foi nous dit saint Paul. Voilà qui est encourageant. Oui, persévérer pour montrer à Dieu notre fidélité, notre amour. Lui offrir nos vies humblement, nous en remettre à Lui comme un petit enfant contre son père.

 

Voilà pour nous tous un peu de réconfort, se blottir contre Dieu, contre son cœur aimant en acceptant d’être façonné petit à petit, au plus intime de nos vies. Oui, Il est là. Il est là, Il est là. Il veille sur nous, Il ne nous abandonne pas, Il nous regarde avec bonté et miséricorde. Alors oui, je veux fixer mon regard sur Jésus Christ, je veux le contempler sur la Croix, je veux me tenir auprès de Lui et Lui offrir mes sacrifices, mes regards, mes actes d’amour, mes pleurs et mes joies. Je veux tout Lui donner bien que je sois si petit. Voilà comment persévérer dans le carême. Car même si je ne sais pas bien t’aimer Seigneur, je le désir au plus profond de moi.

 

En regardant l’offrande de Jésus sur la Croix, je peux désirer aussi m’offrir à Jésus qui me conduit vers le Père. En regardant Jésus donner sa vie, je désir donner ma vie pour mes frères, sans les juger, sans les critiquer, juste en découvrant qu’ils sont tous faibles et pourtant aimés particulièrement de Dieu.

 

Que l’amour de Dieu nous donne l’amour des frères.

 

Soyez bénis.

 

Monsieur le curé Michel Dejouy

 

10 mars 2015

Prochainement dans notre paroisse.....

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5 mars 2015

Méditation du 3/03/15

 

PAPE FRANÇOIS

 

 MÉDITATION MATINALE EN LA CHAPELLE DE LA

MAISON SAINTE-MARTHE  

  Mardi 3 mars 2015

 

 (L'Osservatore Romano,  Édition hebdomadaire n° 10 du 5 mars 2015)  

 

 Quand le Seigneur exagère

  

Les réflexions du Pape François sur le thème de la conversion — en suivant la liturgie de la parole quotidienne — se poursuivent. Après l’invitation de lundi 2 mars « à nous accuser nous-mêmes, à nous dire la vérité sur nous-mêmes, à ne pas maquiller notre âme pour convaincre que nous sommes meilleurs que nous ne le sommes réellement », le Pape a approfondi « le message de l’Église » qui « aujourd’hui peut se résumer en trois mots : l’invitation, le don et la “feinte” ». Une invitation qui, comme on le lit dans le livre du prophète Isaïe (1, 10.16) concerne précisément la conversion : « Prêtez l’oreille à l’enseignement de notre Dieu. Lavez-vous, purifiez-vous ! », c’est-à-dire : « Ce que vous avez à l'intérieur n’est pas bon, ce qui est mauvais, ce qui est sale, doit être purifié ». Face aux invitations du prophète : « Éloignez de mes yeux le mal de vos actions », « Cessez de faire le mal ! Apprenez à faire le bien », certains disent : « Mais, Seigneur, je ne fais pas le mal ; je vais à la Messe tous les dimanches, je suis un bon chrétien, je fais de nombreuses offrandes ». À ces derniers, François a idéalement demandé : « Mais es-tu entré dans ton cœur ? Es-tu capable de t’accuser toi-même des choses que tu trouves là ? ». Et au moment où l’on ressent la nécessité de la conversion, on peut aussi se demander : « Mais comment puis-je me convertir ? ». La réponse vient de l’Écriture : « Apprenez à faire le bien ». En effet, « la saleté du cœur » « ne s’enlève pas comme on enlève une tâche : nous allons à la teinturerie et nous ressortons propres. On l’enlève par une action ». La conversion signifie « suivre une route différente, une autre route que celle du mal ».

Une autre question a été : « Et comment est-ce que je fais le bien ? ». Pour chacun de nous cela signifie : va « où se trouvent les plaies de l’humanité, où il y a tant de douleur ; et ainsi, en faisant le bien, tu laveras ton cœur. Tu seras purifié ! C’est l’invitation du Seigneur ». Conversion signifie donc que nous sommes appelés à faire le bien « aux plus démunis: la veuve, l’orphelin, les malades, les personnes âgées, dont personne ne se souvient » ; mais aussi « les enfants qui ne peuvent pas aller à l’école » ou les enfants « qui ne savent pas faire le signe de la Croix ». Car « dans une ville catholique, dans une famille catholique il y a des enfants qui ne savent pas prier, qui ne savent pas faire le signe de la Croix ». Et alors il faut « aller chez eux » porter « l’amour du Seigneur ». Si nous faisons cela « quel sera le don du Seigneur ? ». Il « nous changera ». Même face à notre peur ou notre hésitation — « Mais, père, j’ai commis tant de péchés ! J’en ai fait tant, tant, tant, tant ! »

— le Seigneur nous confirme :

« Si tu viens sur cette route, sur laquelle je t’ai invité, même si tes péchés étaient écarlates, ils deviendront blancs comme neige ». Après l’analyse des deux premiers mots proposés au début de l’homélie — l’« invitation », c’est-à-dire: mets-toi en marche pour te convertir, pour faire le bien ; et « le don », c’est-à-dire : « je te donnerai le pardon le plus grand, je te changerai, je te rendrai très pur » .

— le Pape est passé au troisième mot, la « feinte ». En relisant le passage de l’Évangile de Matthieu (23, 1-12) où Jésus parle des scribes et des pharisiens, François a fait remarquer que « nous aussi nous sommes malins », en tant que pécheurs « nous trouvons toujours une route qui n’est pas la bonne, pour sembler plus juste que nous ne le sommes : c’est la route de l’hypocrisie ». C’est une attitude contre laquelle Jésus a toujours utilisé des mots très clairs. En effet, il préférait « mille fois » les pécheurs aux hypocrites.

Voilà alors les trois mots sur lesquels « méditer » en cette deuxième semaine du Carême : « l’invitation à la conversion ; le don que nous donnera le Seigneur, c’est-à-dire un grand pardon » ; et « le “piège”, c’est-à-dire “faire semblant” de se convertir et prendre la route de l’hypocrisie ». Avec ces trois mots dans le cœur, on peut participer à l’Eucharistie, « notre action de grâce ».

 

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