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Paroisse St Pierre-St Paul
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29 novembre 2015

Marche en AVENT

Aujourd'hui dimanche 29 novembre 2015

C'est le 1er dimanche de l'Avent!!

 

 

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28 novembre 2015

Méditation du Pape François

 

PAPE FRANÇOIS

 

MÉDITATION MATINALE EN LA CHAPELLE DE LA MAISON SAINTE-MARTHE

 

Jeudi 19 novembre 2015

 

(L'Osservatore Romano, Édition hebdomadaire n° 48 du 26 novembre 2015)

 

La route de la paix

 

Que le monde retrouve la route de la paix « précisément à la porte de ce jubilé de la miséricorde ». « Jésus a pleuré », a affirmé François dans son homélie, reproposant les paroles de l’extrait évangélique de Luc (19, 41-44). Quand, en effet, « il fut proche de Jérusalem », le Seigneur « pleura à la vue de la ville ». Et pourquoi ? C’est Jésus lui-même qui répond : « Si tu avais compris, en ce jour, celui qui amène à la paix ! Mais maintenant, il a été caché à tes yeux ». Ainsi, il « pleura parce que nous avons préféré la voie des guerres, de la haine, des inimitiés ». « Aujourd’hui, Jésus est au ciel, il regarde » et il « viendra chez nous ici sur l’autel ». Mais « aujourd’hui aussi, Jésus pleure. Parce que nous avons préféré la voie des guerres, de la haine, des inimitiés. Nous le comprenons davantage maintenant que nous nous rapprochons de Noël : il y aura des lumières, il y aura des fêtes, des arbres enguirlandés, aussi des crèches…

Mais tout est faussé : le monde continue à faire la guerre, à faire les guerres. Le monde n’a pas compris la voie de la paix ». Et encore, « l’an dernier nous avons organisé des commémorations pour le centenaire de la Grande guerre ». Et « cette année, d’autres commémorations auront lieu autour des anniversaires de Hiroshima et de Nagasaki, pour n’en citer que deux ». Et « tous se plaignent en disant : « Eh bien, quelles histoires terribles ! » En rappelant sa visite au cimetière militaire de Redipuglia, le 13 septembre 2014, pour le centenaire de la Première guerre mondiale, le Pape a confié avoir repensé aux paroles de Benoît xv : « massacres inutiles ». Des massacres qui ont provoqué la mort de « millions et de millions d’hommes ». Pourtant, « nous n’avons pas compris encore la route de la paix ». Et « cela ne s’est pas arrêté là : aujourd’hui, dans les journaux télévisés, dans la presse, nous voyons que dans ces zones, il y a eu des bombardements » et nous entendons dire que « cela est une guerre ».

Mais « partout aujourd’hui, il y a la guerre, il y a la haine ». Nous en venons même à nous réconforter en disant : « Eh oui, c’est un bombardement, mais grâce à Dieu, il n’y a que vingt enfants tués ! ». Ou alors nous disons : « Il n’y a pas eu beaucoup de morts, beaucoup sont enlevés... ». Mais ainsi, « notre façon de penser devient insensée elle aussi ». En effet, « que reste-t-il d’une guerre, de celle que nous sommes en train de vivre ? ». Il reste « des ruines, des milliers d’enfants sans éducation, tant et tant de morts innocents. Tant d’argent dans les poches des trafiquants d’armes ». C’est une question cruciale. « Une fois Jésus a dit : “on ne peut pas servir deux maîtres : ou Dieu, ou l’argent” ». Et « la guerre est précisément le choix des richesses : “Faisons des armes, comme ça l’économie s’équilibre un peu, et avançons avec nos intérêts” ». À cet égard, « il y a une parole dure du Seigneur : “Maudits”. Parce qu’Il a dit : “Bénis soient les artisans de paix” ». Donc ceux « qui mettent en œuvre la guerre, qui font les guerres, sont maudits, sont des délinquants ». Une guerre « peut se justifier — entre guillemets — par tellement, tellement de raisons. Mais quand le monde entier, comme aujourd’hui est en guerre, le monde entier ! C’est une guerre mondiale, par morceaux : ici, là-bas, là-bas aussi, partout ». Et « il n’y a pas de justification. Et Dieu pleure. Jésus pleure ». Les paroles du Seigneur devant Jérusalem reviennent ainsi, rapportées dans l’évangile de Luc : « En ce jour, tu n’as pas compris ce qui conduit à la paix ». Aujourd’hui, « ce monde n’est pas un artisan de paix ». Et « pendant que les trafiquants d’armes font leur travail, il y a de pauvres artisans de paix qui seulement pour aider une personne, une autre, donnent leur vie ». Et ils remplissent cette mission en prenant pour modèle « un symbole, une icône de notre temps : Teresa de Calcutta ». En effet, « avec le cynisme des puissants, l’on pourrait dire : « Mais qu’a fait cette femme ? Elle a perdu sa vie en aidant les gens à mourir ? ». La question est qu’aujourd’hui, « on ne comprend pas la route de la paix ». De fait, « la proposition de paix de Jésus est demeurée inécoutée ». Et « c’est pour cela qu’il a pleuré en regardant Jérusalem et qu’il pleure aujourd’hui ». « Il nous fera du bien à nous aussi de demander la grâce des pleurs, pour ce monde qui ne reconnaît pas la voie de la paix. Celui qui vit pour faire la guerre, avec le cynisme de prétendre ne pas la faire ».

Et « demandons la conversion du cœur ». Précisément « à la porte de ce jubilé de la miséricorde, que notre jubilé, notre joie soit la grâce que le monde retrouve la capacité de pleurer pour ses crimes, pour ce qu’il fait avec les guerres ».

 

27 novembre 2015

JOURNEE DE COMMEMORATION POUR LES VICTIMES DU 13 NOVEMBRE

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26 novembre 2015

Ouverture des Portes saintes Actualité mise en

 

 

Ouverture des Portes saintes

Actualité mise en ligne le 26 novembre 2015

 

Que l'Année Sainte soit pour tous les croyants un véritable moment de rencontre avec la miséricorde de Dieu Pape François

 

Le 8 décembre sera lancée à Rome, par le pape François, l’année du Jubilé de la Miséricorde. Il ouvrira ce jour-là la Porte sainte de la basilique Saint-Pierre. Le 13 décembre, quatre portes saintes seront ouvertes à leur tour dans le diocèse de Nice, annonçant une année sainte à vivre jusqu’au 13 novembre 2016. Un jubilé pour se laisser réconcilier avec Dieu.

Le jubilé est un temps favorable pour l'Église, pour qu'elle puisse contempler le mystère de la miséricorde, source de joie et de paix. La miséricorde est l'acte ultime par lequel Dieu vient à notre rencontre. Elle est le chemin qui unit Dieu et l'homme, pour qu'il ouvre son cœur à l'espérance d'être aimé pour toujours malgré les limites de son péché. Le pèlerinage est un signe particulier de l'Année Sainte : il est l'image du chemin que chacun parcourt au long de son existence. Il est l'occasion de passer la Porte Sainte pour nous mettre à la suite de Jésus Christ, de recevoir le sacrement du pardon pour vivre en homme libre, et de pratiquer la miséricorde en actes pour vivre mieux selon l'Évangile. À l'invitation du Pape François, « laissons-nous surprendre par Dieu. Il ne se lasse jamais d'ouvrir la porte de son cœur pour répéter qu'il nous aime et qu'il veut partager sa vie avec nous ».

 

 

Le commencement d'une année jubilaire est toujours solennellement marqué par l'ouverture d'une Porte sainte par le pape en la Basilique Saint-Pierre à Rome. Cela se déroulera mardi 8 décembre, jour de la fête de l’Immaculée Conception Mais, en ce Jubilé de la Miséricorde, le Pape François a souhaité que, dans chaque diocèse, une porte sainte permette à chacun, à travers le monde, de faire une démarche jubilaire. En passant par la Porte sainte, le pèlerin se met à la suite de Jésus qui a dit : « Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 10, 9). La Porte sainte rappelle la responsabilité qu'a tout croyant d'en franchir le seuil : c'est une décision qui suppose la liberté de choisir le Christ et en même temps le courage d'abandonner le péché, de laisser derrière soi ce qui conduit au mal. Passer cette porte signifie vouloir suivre Jésus-Christ pour vivre la vie nouvelle qu'il nous a donnée. Le 13 décembre, troisième dimanche de l’Avent, la Basilique Saint Jean au Latran à Rome ainsi que chaque cathédrale à travers le monde ouvriront une Porte sainte.

Dans le diocèse de Nice, Mgr André Marceau a choisi quatre lieux jubilaires. Dans chacun de ces lieux sera également ouverte la Porte sainte, dimanche 13 décembre, à des heures différentes. À cette occasion, la lumière de Bethléem sera accueillie et transmise par les Scouts et Guides de France.

 

 

 

Cathédrale Sainte Réparate 10h : Rendez-vous à la chapelle de la Miséricorde (cours Saleya) pour démarrer la procession 3, rue Sainte-Réparate 06300 Nice cathedrale-nice.fr

Sanctuaire Notre-Dame de Laghet - 10h45 06340 La Trinité sanctuaire-laghet.nice.cef.fr

Sanctuaire Notre-Dame de Valcluse - 17h 1014, route de Grasse 06810 Auribeau-sur-Siagne sanctuaire-nd-valcluse.org

Monastère de Cimiez - 10h30 Place Jean Paul II 06000 Nice stemariedesanges.free.fr

 

17 novembre 2015

messe pour les victimes

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16 novembre 2015

Réaction de Monseigneur Marceau

Vous trouverez sur le site de l'Evêché de Nice (à droite de ce blog), la réaction orale de Monseigneur André Marceau suite aux attentats du 13 novembre dernier.

15 novembre 2015

Attentats de Paris

 

Attentats de Paris : Réaction de Mgr Georges Pontier, Président de la Conférence des évêques de France

 

Publié le 14 novembre 2015

 

Dans sa capitale, notre pays a été touché par une série d’attentats d’une barbarie inégalée. Avec les catholiques de France, j’exprime ma profonde douleur devant cette extrême violence qui a retiré la vie à tant de personnes et blessé tant d’autres.

 

 Mes pensées et mes prières vont aux victimes, à leurs proches, aux forces de l’ordre, aux soignants et à nos gouvernants sur lesquels pèse une lourde responsabilité. En ces heures difficiles nous leur faisons confiance.

 

J’invite les catholiques de France, ce dimanche tout spécialement, par leur prière, leurs paroles et leurs actes à être artisans de paix, d’unité et témoins de l’Espérance.

 

 Nous le savons, le mal n’aura pas le dernier mot.

 

 

  Mgr Georges Pontier Archevêque de Marseille

 

5 novembre 2015

Des nouvelles de Monseigneur Balsa

 

Mgr Balsa : « Dieu a la patience de créer à nouveau des alliances »

 

Publié le 05 novembre 2015

 

                                                      Nommé le 22 mai 2015, ordonné évêque de Viviers le 12 septembre, Mgr Jean-Louis Balsa participe à sa première Assemblée plénière à Lourdes. Rencontre avec un pasteur qui porte particulièrement le souci de la famille et des jeunes.

 

Qu’avez-vous découvert du diocèse de Viviers ?

 

Ce sont des chrétiens, hommes et femmes, extrêmement donnés. Ce sont 120 prêtres, originaires du diocèse, ordonnés très jeunes et qui sont restés fidèles jusqu’à aujourd’hui. Je suis très impressionné par eux, par leur fougue, leur désir d’Eglise. L’Ardèche est une terre chrétienne. Je n’en avais pas l’habitude – venant des Alpes-Maritimes. Ici le christianisme est très ancré, avec des saints toujours très présents dans les mémoires. Je pense à Saint Jean-François Régis, S.J., à Thérèse Couderc, de spiritualité ignatienne, qui a fondé le Cénacle, au Bienheureux Pierre Vigne, au bienheureux Charles de Foucauld. Ou même au Père Gabriel Longueville, un prêtre assassiné en 1976, sous la dictature, en Argentine. Bref, cette Eglise compte beaucoup de saints. Pour qu’il y en ait, il faut un terreau propice. Je découvre une vie chrétienne forte et profonde.

 

Que dégagez-vous comme priorité pour votre diocèse ?

 

Avec ce « capital », constitué de beaucoup de chrétiens et encore plusieurs prêtres, l’enjeu prioritaire est la pastorale des jeunes. D’abord parce que la rencontre avec le Christ vaut vraiment la peine pour un jeune mais aussi parce qu’ils quittent l’Ardèche après le bac pour leurs études. Il faut donc tout faire pour que la vie ecclésiale et la rencontre du Christ auxquelles ils auront pu goûter s’inscrivent dans leur mémoire profonde – pas dans leurs souvenirs. Afin que, si un jour résonne un appel à être prêtre, religieux ou à se marier, l’Ardèche rappelle que l’Eglise est intéressante. Pour moi, la pastorale des jeunes sera un lieu pour s’enraciner dans une terre, dans un amour d’une Eglise concrète. A nous de créer les conditions pour cela. J’ai été aumônier de lycée à Cannes puis responsable de la Pastorale des jeunes, quand j’étais vicaire épiscopal à Nice. Les jeunes aujourd’hui ont besoin d’événements très forts. Il existe une concurrence dans ce qu’on leur propose par ailleurs. Quand on fait du sport, on n’y va pas une fois tous les quinze jours. Non, c’est deux fois par semaine. La question qui nous est posée est celle de la qualité. Nous avons une obligation de moyens, pas de résultat. Tirer les jeunes par le haut, c’est ce que je retiens de mon expérience personnelle.

 

Quel dossier suivez-vous particulièrement pendant l’AP ?

 

Celui du Synode sur la famille. Le sujet m’intéresse parce que c’est une énorme question. Je pense à ma propre famille, à celles que je connais, à la difficulté de faire famille. On sait depuis le début que ça a mal commencé, avec Adam et Eve. Leur famille était catastrophique. Leurs enfants, Caïn et Abel, n’ont pas été une réussite. Et pourtant, c’est le projet de Dieu. Se serait-il trompé ? Non ! Mais c’est difficile d’être une famille. Ce qui m’intéresse dans cette Assemblée, c’est d’avoir un retour sur le Synode et de m’apercevoir avec bonheur que le Pape et les pères synodaux ont réaffirmé que c’était bien le projet de Dieu et qu’aujourd’hui il fallait accompagner tous ceux dont les familles sont chaotiques, recomposées. Cette tension m’a plu : on voit la destruction de la famille mais aussi que dans cette « pédagogie divine », comme dit le Synode, Dieu a la patience de recomposer, de créer à nouveau des alliances. L’espérance, c’est que Dieu ne nous lâche jamais. Il veut que ça avance et Il nous aide. Quand ça réussit, il faut le montrer. La canonisation des époux Martin est une belle chose. Cela signifie que c’est possible.

 

Sa devise : « Passons sur l’autre rive » (Marc 4, 35)

 

« C’est un ordre que donne Jésus à ses disciples, explique-t-il. Alors qu’ils sont au bord du lac, Jésus dit qu’il faut passer sur l’autre rive mais en réalité il s’agit de passer à autre chose, et plus exactement de la mort à la vie. Ce qui est intéressant, c’est qu’il y a une tempête énorme pendant la traversée. Ce n’est pas une croisière ! La barque, c’est l’Eglise. Pierre, qui fréquente pourtant Jésus depuis un certain temps, se met à douter, parce que Jésus dort dans le bateau : « Nous sommes perdus ! » Pourtant Jésus est là. Je me dis que nous sommes aujourd’hui dans une période de transition de société, de civilisation. Jésus nous dira toujours de passer sur l’autre rive. Nous vivrons ces doutes. Nous aurons ce combat intérieur à mener. Jésus leur demande pourquoi ils ont peur puisqu’il est là. Donc c’est à la fois une promesse – il y a bien une autre rive – mais enfin, on ne fait pas le tour du lac. On va le traverser. C’est ce que nous faisons. Mon blason représente un bateau, avec trois grandes voiles, c’est l’Eglise qui vient vers nous. Sur chaque voile figure une personne de la Trinité : elle pousse la barque de l’Eglise qui navigue sur la Provence et l’Ardèche ».

 

4 novembre 2015

Le mot du curé de novembre 2015

 

Loué soit Dieu

 

Cher amis de Dieu, la Parole de Jésus vit en vous.

 

Avec la venue de notre évêque, monseigneur André Marceau, j’ai eu la joie de voir votre dévouement et votre souci de tout mettre en œuvre pour que la visite pastorale se déroule  le mieux possible. Chacun de vous a contribué à ce beau moment de découverte réciproque de notre évêque et pour lui, de notre paroisse dont vous êtes les pierres vivantes.

 

J’ai vu que votre cœur est largement ouvert dans le don de vous-mêmes et je m’en réjouis. En fêtant tous les saints ce 1er novembre, je me suis dit que cet élan qui vous a poussé à vous mettre au service de Monseigneur Marceau était l’élan qui poussait les chrétiens à se donner à Jésus, à lui offrir ce que nous sommes.

 

Oui, ce don que vous avez mis au service de l’évêque est ce même don qui vit en vous continuellement et qui s’appelle le Saint Esprit. Il ne faudrait pas laisser diminuer ce don, il faudrait même le faire grandir.

 

Je vous invite à rendre grâce et à garder dans vos cœurs le zèle qui vous anime.

 

Que Dieu vous bénisse. Merci à chacun d’entre vous

 

Michel Dejouy, prêtre de Jésus Christ

 

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