Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Paroisse St Pierre-St Paul

Paroisse St Pierre-St Paul
Archives
Visiteurs
Depuis la création 81 286
28 novembre 2016

le Pape François souhaite à tous un bon Avent

Vigilance, sobriété, disponibilité, espérance, responsabilité: le pape souhaite à tous un bon « Avent »

o-PAPE-FRANCOIS-facebook

Angélus du premier dimanche de l’Avent 2016 (traduction complète)

 Paroles du pape François avant l’angélus

Chers frères et soeurs, bonjour !

Dans l’Eglise commence aujourd’hui une nouvelle année liturgique, c’est-à-dire un nouveau chemin de foi du Peuple de Dieu. Et comme toujours nous commençons par l’Avent.

La page de l’Evangile (cf. Mt 24,37-44) nous introduit à l’un des thèmes les plus suggestifs du temps de l’Avent: la visite du Seigneur à l’humanité. La première visite – nous le savons tous – est advenue par l’Incarnation, la naissance de Jésus dans la grotte de Bethléem ; la deuxième venue se produit dans le présent : le Seigneur nous rend visite continuellement, chaque jour, il marche à nos côtés, et c’est une présence de consolation ; et enfin il y aura la troisième, la dernière visite, que nous professons à chaque fois que nous récitons le Credo : « Il viendra à nouveau dans la gloire pour juger les vivants et les morts ». Le Seigneur nous parle aujourd’hui de sa dernière visite, celle qui aura lieu à la fin des temps, et il nous dit où notre chemin aboutira.

La Parole de Dieu met en relief le contraste entre le déroulement normal des choses, la routine quotidienne, et la venue du Seigneur à l’improviste. Jésus dit :

« En ces jours-là, avant le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et on prenait mari, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; les gens ne se sont doutés de rien, jusqu’à ce que survienne le déluge qui les a tous engloutis » (vv. 38-39).

Jésus dit cela. C’est toujours frappant de penser aux heures qui précèdent une grande calamité : tous font les choses habituelles sans se rendre compte que leur vie va être bouleversée. C’est sûr que l’Evangile ne veut pas nous faire peur, mais ouvrir notre horizon à une dimension ultérieure, plus grande, qui, d’une part, relativise les choses de chaque jour, mais en même temps les rend précieuses, décisives. La relation avec le Dieu-qui-vient-nous-visiter donne à chaque geste, à chaque chose une lumière différente, une épaisseur, une valeur symbolique.

Dans cette perspective, il y a aussi une invitation à la sobriété, à ne pas être dominés par les choses de ce monde, par les réalités matérielles, mais plutôt à les gouverner. Si, au contraire, nous nous laissons conditionner et dominer par elles, nous ne pouvons pas percevoir qu’il y a quelque chose de beaucoup plus important : notre rencontre finale avec le Seigneur : voilà ce qui est important.  Cela, cette rencontre. Et les choses de chaque jour doivent être dirigées vers cet horizon. Cette rencontre avec le Seigneur qui vient pour nous.

A ce moment-là, dit l’Evangile, « deux hommes seront aux champs : l’un sera pris, l’autre laissé » (v. 40). C’est une invitation à la vigilance, parce que, ne sachant pas quand Il viendra, il faut être toujours prêt à partir.

En ce temps de l’Avent nous sommes invités à élargir l’horizon de notre cœur, à nous laisser surprendre par la vie qui se présente chaque jour avec ses nouveautés. Pour faire cela, il faut apprendre à ne pas dépendre de nos sécurités, de nos schémas consolidés, parce que le Seigneur vient à l’heure où nous ne l’imaginons pas. Il vient pour nous introduire dans une dimension plus belle et plus grande.

Que Marie, la Vierge de l’Avent, nous aide à ne pas nous considérer propriétaires de notre vie, à ne pas opposer de résistance quand le Seigneur vient la changer, mais à être prêts à nous laisser visiter par lui, hôte attendu et bienvenu même s’il bouleverse nos plans.

 

Publicité
27 novembre 2016

1er dimanche de l'AVENT!

Aujourd'hui, dimanche 27 novembre 2016,

C'est le premier dimanche de l'AVENT!!!

 

Quand on attend quelqu'un que l'on aime, que peut-être on n'a pas vu depuis longtemps, on est heureux, on est impatient....

On veut alors que la maison soit belle: on fait le ménage pour qu'elle soit resplendissante, on prépare un bon repas, on décore la table... 

poubelles004

 

Ce temps de l'Avent, c'est un peu comme si on nettoyait les vitres de son coeur, on vidait la poubelle des grimaces et des rancunes, on aspirait les poussières des disputes. C'est comme si on mettait un bouquet de mercis...

Comme si l'on dépoussierait en nous ce grain d'Amour déposé par Dieu, pour qu'il puisse être illuminé par la paix, la joie et l'Amour de Jésus à Noël!

3c756fa1

Bon dimanche de l'Avent à tous!

 

 

20 novembre 2016

Pas à pas....En Avent!

Dimanche prochain, le 27 novembre 2016, nous entrerons dans le temps de l'Avent...

 

 

Lorsque tombe l’hiver et que les jours se font courts, le Temps de l’Avent apporte cette sereine et discrète lumière qui déjà annonce la joie de Noël.

 La coutume de dresser une « couronne de l’Avent » est une belle évocation de ce mystère.

Nous vous proposons 3 exemples de couronnes (que vous trouverez dans notre paroisse) :

 

collage2

Bonne préparation de l'Avent à tous!!!

 

 

12 novembre 2016

Jubilé des personnes en grande précarité: créer

 

Jubilé des personnes en grande précarité: créer «un sentiment d’appartenance»

 

   
   

Créer «  un sentiment d’appartenance » pour « les personnes qui souffrent de l’exclusion », c’est un des objectifs du grand rassemblement à Rome des  personnes sans-abri ou en grande précarité, à l’occasion du Jubilé de la miséricorde, indique l’association Fratello 2016. Son porte-parole, François Le Forestier, a présenté l’initiative, ce mardi 8 novembre 2016, au Vatican.

Fratello c’est en effet le nom du Jubilé des sans-abri et également le nom de l’association française qui a été créée début 2016 pour organiser ce jubilé. A l’origine de l’association, il y a des associations de colocation solidaire qui étaient déjà venues en pèlerinage à Rome en 2014 (Lazare, APA, Aux captifs la libération, Village St Joseph).

 

Car le pape François a invité les personnes en situation de précarité à passer trois jours ensemble, du 11 au 13 novembre, en réfléchissant sur le thème « Dieu console. Dieu pardonne. Dieu espère ».  Le samedi 12 novembre, en fin d’après-midi, une Veillée de la Miséricorde se tiendra dans la basilique Saint-Paul-hors-des-Murs, présidée par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon.

 

Les pèlerins sont pour 2/3 des hommes et des femmes qui ont connu la rue ou qui la connaissent encore et pour 1/3 des amis bénévoles qui les accompagnent. Les groupes sont formés par des associations et des paroisses de 22 pays européens. Ces groupes se déclinent en fraternités d’une dizaine de pèlerins. 4 trains arrivent de Milan à Rome jeudi matin entre 9h40 et 11h avec les pèlerins du train spécialement affrété de Paris vers Milan.

Ce « festival européen de la joie et de la miséricorde »  vise à créer « un moment spécial de fraternité et de charité, et montrer que la place légitime des plus vulnérables de la société est au cœur de l’Église, pas à ses marges », indique un communiqué de Fratello 2016.

Le Jubilé des personnes en grande précarité  aidera à « renforcer la solidarité au sein de l’Église et entre des pays et des associations de toute l’Europe ».

Quelque 4000 personnes sont attendues de 22 pays participants, dont la France, l’Allemagne,  l’Espagne, le Portugal, l’Italie, La Grande-Bretagne, les Pays-Bas, le Luxembourg, le Danemark, la Suisse, l’Autriche, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, la Slovénie, la Suède, l’Ukraine, la Lettonie et la Lituanie. Les 121 associations et paroisses participeront à l’événement.

 

«Si chacun pouvait donner un petit quelque chose aux autres, dit Joe, participant du rassemblement, nous serions plus dans un monde plus compatissant. »

 

Au programme, vendredi, 11 novembre – Dieu console -, en la salle Paul VI du Vatican, avant l’arrivée du Pape : jonglage de rue d’un Autrichien, chorale de la rue qui vient de Nantes, Adam, accordéoniste polonais… Puis Christian Delouche, personne ayant connu la rue, Etienne Villemain, fondateur de l’association Lazare et initiateur de Fratello et le cardinal Barbarin accueilleront le pape. Ils prononceront un mot d’accueil.

Deux témoignages  de Christian Delouche, de Nantes, et de Robert, Polonais de Varsovie, seront présentés au pape. Ensuite, le pape donnera prendra la parole. Enfin, au nom de tous, 80 pèlerins seront présentés au pape à la fin de la rencontre.

Samedi 12 novembre – Dieu pardonne -, les pèlerins seront réunis par langue dans dix églises de Rome. La veillée Miséricorde du samedi soir compren une procession aux flambeaux, des témoignages, un enseignement du cardinal Barbarin, l’adoration eucharistique et le sacrement de réconciliation : Pierrot  témoignera de la vie fraternelle dans la diaconie du Var; Walter de la vie de foi dans la communauté franciscaine de Cologne (Allemagne), Sœur Faustine, de l’espérance à partir de son expérience en prison aux Etats-Unis,

 

Et donc, dimanche matin, 13 novembre, – Dieu espère -, la messe avec le pape François

 

 

 

8 octobre 2016

BIENTÔT LA TOUSSAINT


 

Il y a trop souvent confusion entre la grande Fête de la Toussaint,  le 1er novembre, qui est une Solennité[i] dans le calendrier liturgique et le lendemain, 2 novembre, commémoration des défunts.

Cependant, du fait qu’en France, le 1er novembre, jour de la Toussaint, est un jour férié, l’usage est établi de commémorer les morts ce jour au lieu du 2 novembre.

De plus, la fête de la Toussaint est inséparable de la commémoration des défunts. La première célébration est vécue dans la joie ; la seconde est plus en lien avec les souvenirs envers ceux que nous avons aimés :

"Nous croyons à la communion de tous les fidèles du Christ, de ceux qui sont pèlerins sur la terre, des défunts qui achèvent leur purification,

 

des bienheureux du ciel, tous ensembles formant une seule Église, et nous croyons que dans cette communion l’amour miséricordieux de Dieu et de ses saints est toujours à l’écoute de nos prières." (Catéchisme de l’Église Catholique n°962)

 

 

La fête de la Toussaint est donc aussi celle de tous les saints anonymes qui n'ont pas été reconnu officiellement par l'Église. C'est un appel qui s'adresse à tous de devenir des saints.

 

Prier pour ceux que nous avons aimés fait partie de notre foi. Mais n'oublions pas qu'on peut aussi leur demander de prier pour nous, de s'associer aux difficultés de notre vie et, le jour venu, de nous aider à faire, à notre tour, le grand passage. Vivre dans la mémoire de nos disparus ne doit pas être considéré comme mortifère et déprimant. C'est au contraire un vrai témoignage de foi dans la résurrection et la vie éternelle.

 

 

[1] Solennité : Nom donné aux fêtes les plus importantes de la communauté chrétienne et qui sont célébrées avec éclat. Les fêtes solennelles sont propres à toute l’Eglise catholique (par exemple Noël ou Pâques, qui est la plus grande des Solennités). (Portail : Église Catholique de France)

 

LES MESSES ET BÉNÉDICTIONS DE LA TOUSSAINT 

LA VEILLE 

LUNDI 31 OCTOBRE

BLAUSASC

à 15 heures

Messe suivie de la bénédiction du cimetière

LE JOUR DE LA TOUSSAINT 

MARDI 1er NOVEMBRE

LUCÉRAM à 9 heures

Bénédiction du cimetière du haut

 

 

LUCÉRAM

à 9 heures 30

Messe en la chapelle Madona Routa suivie de la bénédiction du cimetière du bas

 

 

L’ESCARÈNE

à 11 heures

Messe suivie de la bénédiction du cimetière

 

LA GRAVE DE PEILLE
à 15 heures

Messe suivie de la bénédiction du cimetière

LE LENDEMAIN 

MERCREDI 2 NOVEMBRE

TOUËT de L’ESCARÈNE  
à  9 heures

Messe suivie de la bénédiction du cimetière

 

SAINTE THÈCLE

à 11 heures

Messe suivie de la bénédiction du cimetière

 

PEILLON

à 12 heures 30

Bénédiction du cimetière



 

 

 

 

Publicité
30 septembre 2016

Scan

27 septembre 2016

En ce temps de rentrée pour les catéchistes...

Le Pape invite les catéchistes à être renouvelés par la joie de la première annonce

Le Pape François lors de la messe dimanche 25 septembre. - AFP

25/09/2016
 Le Pape François a célébré la messe place Saint-Pierre dimanche 25 septembre à l'occasion du jubilé des catéchistes qui se déroule à Rome dans le cadre de l'année de la Miséricorde. A cette occasion plusieurs milliers de catéchistes venus du monde entier, parmi lesquels 150 Français se sont retrouvés pour un pélerinage international. 

En commentant les textes du jour lors de son homélie, le Pape est revenu sur le commandement de l'Apôtre Paul à Timothée qui rappelle le centre de la foi. « Ce centre autour duquel tout tourne, ce cœur palpitant qui donne vie à tout, c’est l’annonce pascale, la première annonce : le Seigneur Jésus est ressuscité, le Seigneur Jésus t’aime, il a donné sa vie pour toi ; ressuscité et vivant, il est présent à tes côtés et il t’attend chaque jour. Nous ne devons jamais l’oublier ».

« En ce Jubilé des catéchistes, a poursuivi François, il nous est demandé de ne pas nous lasser de mettre en premier l’annonce principale de la foi : le Seigneur est ressuscité.  Il n’y a pas de contenu plus important, rien de plus solide et actuel.» L'annonce de Dieu-amour ne peut se faire qu'en aimant a rappelé aussi le Pape, non pas en cherchant à convaincre, jamais en imposant la vérité, non plus en se raidissant sur des obligations religieuses ou morales. Au contraire, a t-il expliqué, Dieu est annoncé en rencontrant les personnes, en prêtant attention à leur histoire et à leur chemin. François a ainsi rappelé que le message du Seigneur, parce qu'il nétait pas une idée mais bien une personne, passait par un témoignage simple et vrai. 

La mondanité, un "trou noir" qui engloutit le bien 

L'Evangile qui relate la parabole de l'homme riche et de Lazare nous aide à comprendre ce que veut dire aimer a poursuivi le Pape, c'est à dire dépasser nos cécités, sentir avec son coeur avant de voir avec ses yeux. «La mondanité qui anesthésie l’âme est entrée dans son cœur» a souligné François en évoquant l'homme riche de la parabole, cette mondanité est comme un « trou noir » qui engloutit le bien, qui éteint l’amour parce qu’elle ramène tout au moi.

Le Seigneur regarde celui qui est négligé et mis à l’écart du monde, a précisé le Pape qui a rappelé que «Lazare est le seul personnage, dans toutes les paraboles de Jésus, à être appelé par son nom». Cette pauvreté de Lazare, à l'inverse de l'ostentation de l'homme riche s’exprime avec une grande dignité. Ceci est enseignement précieux a t-il précisé en lançant une invitation aux catéchistes:

«en tant que serviteurs de la parole de Jésus nous sommes appelés à ne pas étaler une apparence et à ne pas rechercher la gloire ; nous ne pouvons pas non plus être tristes ni nous lamenter. Ne soyons pas des prophètes de malheur qui se complaisent à dénicher les dangers ou les déviances ; ne soyons pas des gens qui se retranchent dans leurs propres environnements en émettant des jugements amers sur la société, sur l’Eglise, sur tout et sur tous, polluant le monde de choses négatives. »

Celui qui annonce l’espérance de Jésus est porteur de joie et voit loin, car il sait regarder au-delà du mal et des problèmes, a conclu le Saint-Père, et en même temps il voit bien de près, car il est attentif au prochain et à ses nécessités. «Que le Seigneur nous donne la grâce d’être renouvelés chaque jour par la joie de la première annonce».

20 septembre 2016

Le Pape François: Le film

Diocèse de Nice

Le pape François : le film

Actualité mise en ligne le :     20 septembre 2016                

 

Synopsis:                Qui se cache derrière le Pape François ?  

                 Ana,   jeune journaliste espagnole, est envoyée au Vatican pour couvrir le   conclave de 2005. Elle fait alors la connaissance du Cardinal Jorge   Mario Bergoglio, évêque de Buenos Aires, méconnu du grand public et   outsider de l’élection. Se liant d’amitié, elle apprend à mieux   connaitre la vie d’un homme humble et atypique qui a voué sa vie aux   luttes contre la dictature, la pauvreté, la drogue, l’esclavagisme   moderne. Elle découvre petit à petit le parcours incroyable, depuis son   enfance jusqu’à son élection de 2013, de celui qu’on appelle désormais   le Pape François. Titre original : Francisco, el Padre Jorge.

Date de sortie 28 septembre 2016 (1h44min)

                  Un film de  Beda Docampo Feijóo et Eduardo Giana.

 

17 septembre 2016

Cours annuel de formation du Pape François

 

Le pape François nous dit que le monde est fatigué des menteurs, des prêtres à la mode, des marchands de vaines croisades et nous mets en garde contre le risque de "négocier" sa dignité

Publié le 16 Septembre 2016

 

Comme le montre Vatican Insider le pape explique aux nouveaux évêques du cours annuel de formation ce vendredi 16 septembre 2016 que faire de la miséricorde pastorale n’est pas vendre les perles. Il ne faut ménager aucun effort pour atteindre le peuple de Dieu, et ainsi être proche de familles en fragilité. Dans les séminaires doivent viser la qualité et non la quantité, il faut donc se méfier de ceux qui se réfugient dans la rigidité.

"Le monde est fatigué des charmeurs menteurs. Et, permettez-moi de le dire : des prêtres ‘à la mode’ ou des évêques ‘à la mode’. Les gens flairent les narcissiques, les défenseurs de leurs propres causes, les marchands de vaines croisades." C’est ainsi que le pape François s’est adressé dans un long discours aux évêques nouvellement nommés, à Rome pour un cours de formation, touchant les diverses questions de leur ministère, de la nécessité de faire de la pastorale, "qui est accessible, tangible, à notre portée", à travers la miséricorde, qui est le "résumé de ce que Dieu offre au monde."

Les évêques, dit Jorge Mario Bergoglio, doivent être en mesure d'enchanter et d'attirer les hommes et les femmes de notre temps vers Dieu, sans se "plaindre", sans "négliger aucun effort pour les atteindre" ou le "récupérer", et grâce à l'initiation chrétienne ("Aujourd'hui, on demande trop de fruits dans des arbres qui ne sont pas assez cultivés").

Ils doivent être "attentifs quand un séminariste se réfugie dans les rigidités : cela cache toujours quelque chose de mauvais", et en agissant avec "une grande prudence et responsabilité dans l’accueil des candidats ou l’incardination des prêtres dans vos Églises locales", et enfin à accompagner les familles avec leur "fragilité".

Beaucoup de prêtres et d’évêques à la mode attirent, mais ont-ils le sens du pasteur ? Souvent ce n’est pas le cas. Pour éviter cela, le pape demande à être attentif aux vocations pour éviter des hommes trop rigides.

Dieu nous a donné une dignité, mais il existe un risque qu’elle “puisse se dégrader”. C’est l’avertissement du pape François, le 15 septembre 2016, devant 150 membres de l’Association biblique italienne, qu’il recevait au Vatican comme le montre cath.ch ce vendredi.

“Cela se produit lorsque nous négocions la dignité, lorsque nous embrassons l’idolâtrie, quand nous faisons une place dans notre cœur à l’expérience des idoles”, a-t-il ajouté. Parmi ces idoles, le pape François a pointé du doigt celle de l’argent : “l’homme perd sa propre dignité quand dans son cœur, les richesses prennent la place de Dieu”.

 

Le Souverain pontife a alors invité les exégètes à réfléchir à cette question : “Comment puis-je partager cette dignité, de sorte qu’elle se développe dans une réciprocité positive ?”. “Quand quelqu’un méprise (…) discrimine, il ne partage pas la dignité, mais le contraire”, a-t-il alors ajouté avant de conseiller de “s’examiner pour découvrir si et quand nous diffusons notre dignité envers notre prochain”.

 

L’Association biblique italienne est réunie à Rome du 8 au 16 septembre 2016 pour la 44e Semaine biblique nationale sur le thème: “Faisons l’être humain: homme et femme, déclinations de la polarité homme/femme dans les Écritures”.

 

14 août 2016

15 août 2016

Allumer une bougie et se recueillir dans une église à l’occasion du 15 août                                                                                                                                                                                                                                                                             

Publié le 12 Août 2016

eglise.catholique.fr nous montre ce vendredi 12 août 2016 que Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la Conférence des évêques de France et Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen,

appellent les catholiques à se rendre dans une église le 15 août pour allumer une bougie et se recueillir.

Cet appel fait suite à celui de Mgr Lebrun dans son homélie lors de la célébration des funérailles du père Jacques Hamel :

«En hommage au Père Hamel,

nous vous invitons à visiter une église dans les jours qui viennent,

pour dire votre refus de voir souiller un lieu saint,

pour affirmer que la violence ne prendra pas le dessus dans votre cœur,

pour en demander la grâce à Dieu ;

nous vous invitons à déposer une bougie dans cette église, signe de résurrection, à vous y recueillir, à ouvrir votre cœur dans ce qu’il a de plus profond ; si vous le pouvez à prier, à supplier.

Le 15 août serait un jour propice. La Vierge Marie vous y accueillera avec tendresse. Souvenons-nous de notre maman.»

Cet appel est un bel acte de solidarité, mais pour Mgr Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, cela va plus loin comme il le montre sur la-Croix.com. Pour lui, cette prière de paix doit aussi ouvrir de nouveaux chemins de charité qui doivent concerner les familles qui sont de plus en plus fragilisées, les nouveaux pauvres marginalisés, la plaie du chômage, la rencontre interreligieuse, et l’accueil des réfugiés.

Si allumer une bougie et faire une prière contre la peur nous pousse à des actes charitables, cela serait un beau retour vers ce qui a fait le succès de l’Église, son amour pour le prochain.

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 > >>
Paroisse St Pierre-St Paul
Publicité
Newsletter
Derniers commentaires
Publicité