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Paroisse St Pierre-St Paul

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2 décembre 2017

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24 novembre 2017

Accueillir le défi du changement...

Festival de la doctrine sociale: «Accueillir le défi du changement pour rester fidèles à Dieu et à l’homme» (traduction complète)

« Lorsqu’on répond à Dieu, on active toujours un processus »

 

Message au Festival de Doctrine sociale 23/11/2017 capture CTV

Message au Festival de Doctrine sociale 23/11/2017 capture CTV

Le pape François invite à « accueillir le défi du changement pour rester fidèles à Dieu et à l’homme ».

« Fidélité est changement », c’est en effet le thème du VIIème Festival de la Doctrine sociale de l’Église (DSC) qui s’est ouvert à Vérone (Italie), ce jeudi 23 novembre 2017 au soir, à 20h30, au Cattolica Center, par un message-vidéo du pape. Un rassemblement de trois jours (23-26 novembre).

Le message vidéo du pape François part justement de ce thème, c’est-à-dire de la nécessité de changer pour rester fidèles: « Elargir notre service, faire participer les autres à nos projets, dilater les espaces de la créativité signifie accueillir le défi du changement justement pour rester fidèles à Dieu et à l’homme. »

Le message du pape a été suivi d’une intervention du cardinal Luis Antonio Tagle, archevêque de Manille (Philippines) et président de Caritas Internationalis.

Voici notre traduction, rapide, de travail, du message du pape François, prononcé en italien.

AB

Message du pape François

Chers frères et soeurs,

Je vous salue tous, vous qui participez au 7e Festival de la doctrine sociale de l’Eglise, qui a pour titre cette année : « Fidélité est changement ». Cette expression, qui suscite intentionnellement une certaine « surprise » logique, nous conduit à considérer que, dans la réalité, être fidèles comporte la capacité de changer.

Pensons à l’expérience d’Abraham que la Bible nous montre comme modèle de foi. Alors qu’il était déjà âgé, Dieu lui a dit: “Quitte ton pays, ta patrie, et la maison de ton père, pour le pays que je te montrerai. Je ferai de toi un grand peuple et je te bénirai, je rendrai grand ton nom et tu deviendras une bénédiction (Gn 12,1-2).

Pour être fidèle, Abraham a dû changer, partir. La Parole de Dieu nous aide à distinguer les deux “faces” du changement: la première c’est la confiance, l’espérance, l’ouverture à ce qui est nouveau; la seconde, c’est la difficulté de quitter les sécurités pour aller à la rencontre de l’inconnu.

En effet, cela nous fait nous sentir tranquilles que de rester dans notre enclos, conserver, répéter les paroles et les gestes de toujours – cela nous fait nous sentir plus sûrs – plutôt que de sortir, de partir et de lancer des processus nouveaux.

Alors demandons-nous ce qui arrive si nous maintenons notre fidélité envers Dieu et envers l’homme. Nous avons vu dans l’histoire d’Abraham l’effet de l’appel du Seigneur: il a changé sa vie radicalement, il l’a fait entrer dans une histoire nouvelle, il lui a ouvert des horizons inattendus, avec des cieux nouveaux et des terres nouvelles.

Lorsqu’on répond à Dieu, on active toujours un processus: quelque chose d’inédit se produit et nous emporte là où n’aurions jamais imaginé.

C’est important, cela : on active toujours un processus, on avance, on n’occupe pas des espaces, on met des processus en route.

La fidélité à l’homme signifie sortir de soi pour rencontrer la personne concrète, son visage, son besoin de tendresse et de miséricorde, pour la faire sortir de l’anonymat, des périphéries de l’existence.

La fidélité à l’homme signifie ouvrir les yeux et le coeur aux pauvres, aux malades, à ceux qui n’ont pas de travail, aux si nombreuses personnes blessées par l’indifférence et par une économie qui écarte et tue, s’ouvrir aux réfugiés qui fuient la violence et la guerre.

La fidélité à l’homme signifie vaincre la force centripète de nos intérêts, intérêts égoïstes, et faire de l’espace à l’autre, rejeter la tentation du désespoir et entretenir la vive flamme de l’espérance.

C’est ainsi que la fidélité à Dieu et la fidélité à l’homme convergent dans un mouvement dynamique qui prend la forme du changement de nous-mêmes et du changement de la réalité, en surmontant immobilisme et commodités, en créant des espaces et du travail pour les jeunes, et pour leur avenir.

Parce que le changement est salutaire pas seulement lorsque les choses vont mal, mais aussi quand tout marche bien et que nous sommes tentés de nous reposer sur les résultats atteints. Elargir notre service, faire participer les autres à nos projets, dilater les espaces de la créativité signifie accueillir le défi du changement justement pour rester fidèles à Dieu et à l’homme.

Cela semble une contradiction, mais la fidélité c’est ce chemin qui lance des processus, et ne permet pas que nous nous arrêtions dans des espaces qui empêchent toute créativité, des espaces qui, à la fin, vont dans le sens du « on a toujours fait comme cela ».

En vous adressant ce bref message, je salue fraternellement Son Excellence Monseigneur Zenti, évêque de Vérone, ville qui accueille le Festival de la doctrine sociale de l’Eglise, don Vincenzi et tous les collaborateurs, les conférenciers, et les bénévoles.

Je souhaite que cette initiative contribue à animer et soutenir la mission évangélisatrice de l’Eglise dans le monde du travail, de l’économie et de la politique.

Je vous bénis, et je vous demande, s’il vous plaît, de prier pour moi. Merci!

21 novembre 2017

NOS EGLISES ET NOS PRESBYTERES 3

Comme promis, nous voudrions revenir ici sur le (seul) commentaire d’Yves (merci), lors de notre premier article sur le sujet :"…Mais je m'interroge, devant le désintérêt pour les choses de l’Église, la diffusion du message biblique, car c'est bien de cela qu'il s'agit me semble-t-il, ne peut-il être repensé?..."
Dans notre Diocèse, il est une tentative heureuse qui va dans ce sens et à laquelle il a été donné le nom de "MISSION AZUR". (Voir notre article du 22 septembre à ce sujet).

Il y a environ deux ans, dans un partage au niveau de notre doyenné à Laghet, sur « Evangelii Gaudium », dans un des groupes de réflexion, il a été décrié par une participante, au demeurant engagée fort sincèrement, la plainte récurrente suivante : « on ne les voit pas ! » (Sous-entendu, les autres, toutes ces personnes que nous connaissons mais que l’on ne « voit jamais à la messe ».)
Nous entendons tous cette plainte n’est-ce pas ?
Mais il a été répondu par un autre participant : « Eh bien je suis persuadé que « les autres » dont vous parlez, ils disent la même chose de nous: « on ne les voit pas ! »
A comprendre : quelle est la visibilité des chrétiens ? Sont-ils un « peuple joyeux que l’on remarque, VISIBLE », afin d’en être édifié - ou attiré au moins ? 

Il ne faut pas se tromper sur ce que nous faisons dans nos Conseils Paroissiaux, la gestion d’une paroisse est un « moyen » pas un but.

Le « But » lui, est de rendre un peu plus visible la Présence du Royaume de Dieu sur terre !
Ici et maintenant !           

    De     Monseigneur Thierry BRAC, Evêque de Nevers, dans une lettre pastorale à son    Diocèse.   
« Voici que je fais toute     choses nouvelles ».     Jésus le dit dans l’Apocalypse de Saint Jean, Il le dit aujourd’hui à nous     (…) C’est bien lui qui peut faire sans cesse du neuf, avec des personnes de     tout âge et de toute condition.
    C’est sur Lui que nous devons compter, pour la transformation missionnaire de nos communautés, car, « Sans     moi vous ne pouvez rien faire. » (Jean 15, 5).
   
Mais c’est avec nous qu’Il veut agir, en nous donnant un cœur toujours     neuf, en édifiant une Église sans cesse renouvelée, appelée à annoncer le     monde nouveau, la Cité Sainte dont le temple est l’Agneau sans pêché.   

 Notre Pape FRANÇOIS, n’a de cesse que d’appeler à passer à l’Église du 21ème siècle, et la Mission Azur nous y engage justement en nous offrant "Un" moyen.
Un moyen de nous "transformer" nous même, le petit reste d’acteurs et de fidèles engagés, c’est-à-dire à nous "convertir" car c’est le préalable absolu au changement souhaité.

Mais il est une deuxième nécessité tout aussi importante : nous interroger !

Sur quoi ?

Et bien justement sur ceux qui ont été appelés plus haut "les autres".
Parmi ceux-ci, il est à considérer deux catégories, ceux que l’on appelle d’un terme un peu fourre-tout les "Chrétiens-non-pratiquants" et ceux qui n’ont aucune référence religieuse particulière mais qui s’interrogent eux-mêmes sur le sens de leur vie.

Ces derniers, nous en sommes persuadés par notre expérience et nos fréquentations, sont "EN ATTENTE".
L’attente d’une ESPÉRANCE !

Cela peut les rendre "vulnérables" et à la merci de n’importe quelle idéologie "pseudo-ésotérique".  

Oui, la France est devenue une "terre de mission" et plus généralement notre "civilisation occidentale" devenue par elle-même "postchrétienne".

Le Peuple de Dieu souffre !
Les mondes sociaux-économique, culturels et politiques sont devenus "hasardeux" et l’absence de cap d’espérance évident.

Et l’Église, qui pourtant porte ce "cap" ne les convainc plus, alors même, nous le savons, que l’attente existe.

"On ne va pas tout le temps se poser des questions" disait récemment l’administrateur d’une paroisse !
Non, pas tout le temps !
Mais celle-là elle URGE !

 

15 novembre 2017

LA RECREATION DE FRERE SPIRIDON

Chapitre 2 :

FRÈRE SPIRIDON FAIT SON PROPRE CINÉMA…. 

DIALOGUE AVEC MON JARDINNIER : « Cherche pas, il est plus là ! »

UN LONG DIMANCHE DE FIANÇAILLE : Avant les Épousailles Finales et Éternelles.

UN HOMME D’EXCEPTION : Exceptionnellement Homme !

LES DIX COMMANDEMENTS ! Adieu les uns, à Dieu les autres !  

LA MORT VOUS VA SI BIEN : Tel est pris qui croyait prendre !

MON VOISIN LE TUEUR : Judas va !

LE TOUT NOUVEAU TESTAMENT : Non ça, ce n’est pas possible !

APOCALYPSE NOW : Et comment !

LA MORT EST ÉTERNELLE : M’en fous, j’ai choisi la Vie !

LES ENFANTS DU PARADIS ! : « Salut les poteaux ! »

MANGE, PRIE, AIME ! : En somme Thomas taquin, trois mots auraient suffi ! 

COURS APRÈS MOI QUE JE T’ATTRAPPE ! : Mais qui cherche qui ?

LA GLOIRE DE MON PÈRE : À faire connaitre ! 

9 MOIS FERMES ! Merci Marie !

JÉSUS DE NAZARETH : Non, là, y’a aucune astuce….

… vous pouvez compléter ce "TOP 15" avec vos propres films, à votre imagination…

10 novembre 2017

NOS EGLISES ET NOS PRESBYTERE 2

Suite à notre premier article du 2 octobre dernier, Yves nous écrit : "un seul commentaire, ce n’est pas beaucoup !" 
Non en effet, surtout sur un tel sujet.

Un seul "petit poisson" ? Laissons Notre Seigneur le multiplier Lui-même !

Notre article était déjà prêt pour aujourd’hui. Nous répondrons au vôtre Yves, dès la semaine prochaine, car l’aspect que vous abordez, est primordial. 

2 

Petite histoire racontée par Pierre RABBI (agriculteur-penseur-écrivain)

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 "Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s'active, allant chercher quelques gouttes d'eau dans son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d'un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : "Colibri ! Tu n'es pas fou ? Tu crois que c'est avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu ?"
"Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part".
 

"FAIRE SA PART"

N’est-ce-pas là une vision éminemment évangélique ?
Car dans le fond, n’est-ce pas là également la seule chose que Notre Seigneur nous demande ?
Notre part d’amour ; notre part de don ; notre part de joie ; notre part de partage ; notre part de prière !
Notre part de VIE, là où nous sommes et comme nous sommes !

Alors en réfléchissant à cela, à quelques-uns(es), nous avons choisi de faire la nôtre en créant une association : l’A.R.P.
                          "Association Réveil Paroisse"

Objet :
"Cette association a pour objet l’initiation, la promotion, la réalisation et l’accompagnement de toutes actions visant au développement des paroisses qui s’adressent à elle, que ce soit sur le plan matériel, aussi bien que sur celui de la formation humaine et spirituelle ou de l’organisation. Elle les aidera à trouver leur propre orientation. Elle peut être appelée pour cela et selon ses possibilités à créer toute structure nécessaire à son but et à mener les actions de recherche de financements adéquates, y compris commerciales."

C’est une association autonome qui ne dépend ni de notre Paroisse, ni de notre Evêché, ni de notre Mairie et qui ne rend de compte qu’à elle-même - il est très important de le noter d’emblée - mais qui par contre veut se mettre au service de chacun d’eux.

Son siège social se situe au Presbytère de l’Église Saint Jean-Marie Vianney à La Grave de Peille (06440), communauté locale de notre paroisse.

La vocation de notre association est donc de susciter et mutualiser des bonnes volontés autour d’un projet, qu’il soit matériel, spirituel ou organisationnel comme vous avez pu le lire dans notre objet.

Une première urgence, d’ordre matériel celle-ci, nous est apparue : l’état de délabrement de notre église locale (La Grave de Peille), que nous jugeons comme "indigne", ainsi que la vétusté de son presbytère. (Pour la petite histoire nous sommes encore sous baguettes électriques en bois, fils en tissus et fusibles en porcelaine. Vives les années 50 !)

Nul ne pourra régler l’ampleur des dépenses seul, pas même notre association cela va sans dire.

Alors les petits colibris que nous sommes ont déjà monté une opération modeste de collecte publique de ferraille, le 22 octobre dernier. 

RERAILLE 22 10 17

Une partie de l’équipe : Arnaud, François et Stéphane de jeunes bénévoles de la commune ; David P. notre chauffeur, employé municipal délégué par la mairie de Peille ;Jean-Louis S., voisin fidèle et solidaire ; Marie-Christine D., Apolline J. et Jean-Marie K., membres de l’Association initiatrice. 

Était-ce la meilleure idée, tant le prix de la ferraille a chuté ? (90 euros la tonne) 
Nous avons récolté, avec l’aide précieuse et décisive de la Mairie de Peille, la bonne volonté de beaucoup et avec également un don en nature (ferraille) de l’entreprise Vicat de La Grave de Peille la somme totale de 1585 euros. (Colibri un jour, colibri toujours !)

Bien sûr cela ne représente que le dixième de la somme nécessaire pour refaire l’électricité du presbytère, ou encore l’équivalent de trois fenêtres double vitrage pour mieux l’isoler par exemple. (Destination choisie en l’occurrence, courage ils n’en restent plus que 9 !)

Il fallait faire un premier pas, celui-ci est dorénavant posé !

D’ailleurs pour être tout à fait juste, il y en a eu d’autres : les pas de la mairie pour refaire l’étanchéité du

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toit de l’église (ça y est,  il ne pleut plus à l’intérieur) et les pas de notre paroisse pour refaire une partie de l’électricité dans la partie qui reçoit du public (salle dite "du caté").

Pour modeste qu’ait été le résultat, il a fallu pour l’obtenir dépenser un peu de sous. (pas trop rassurez-vous)
Aucun projet ne peut se monter sans cela.

C’est pourquoi l’association, qui se veut transparente, a pris la décision de prélever systématiquement 10% des gains qu’elle suscitera, ainsi que des dons numéraires, pour ses frais de gestion.
Les 90% restants iront intégralement à la réalisation "effective" des projets.
[Nous voulons à ce sujet remercier ici tout particulièrement monsieur Georges M. de Peille qui, "n’ayant pas de ferraille à nous donner" (sic), nous a offert un chèque de 50 euros, notre premier don, si important par l’encouragement qu’il a suscité chez nous.].

Le pape François fait observer dans sa lettre du 27 avril 2016 que les laïcs aussi ont des solutions à proposer :
"Il n'est pas logique – même impossible – de penser qu'en tant que pasteurs nous devrions avoir le monopole des solutions face aux nombreux défis de la vie contemporaine (...). Nous devons être aux côtés de nos fidèles, les accompagnants dans leur recherche, et en stimulant l'imagination de façon à répondre aux problématiques actuelles".
 

A nos encouragements et n’oublions pas, prions sans cesse !

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2 novembre 2017

NOS ÉGLISES ET NOS PREBYTÈRES…

 
L’AFFAIRE DE QUI ?

Et oui, des églises doivent être détruites !             

   
   

geste

                                                                                                             

   
   

 Ça se passe chez nous, dans NOTRE FRANCE,
"Fille aînée de l’Église" !

Ça commence par une petite infiltration d’eau anodine sous le toit et ça peut finir par cette photo qui nous a choqués dès le premier regard.
"Mal à mon église ! Mal à ma paroisse !"

A qui incombe la faute d’un tel état de délabrement que seule la destruction peut enrayer ?
Vaste sujet entouré de polémiques virulentes souvent !

Denier de l’Église bien moins important que certaines légendes tenaces et partisanes le plus souvent voudraient faire croire ; finances des communes, assez généralement propriétaires des lieux, mais aux priorités légitimement plus importantes : voilà déjà deux éléments explicatifs.

Mais ne regarder que ce seul volet financier, ne serait-il pas pour nous, chrétiens, catholiques, fidèles, paroissiens tout à la fois une façon de nous dédouaner et de nous déresponsabiliser ?
Nous posons déjà la question.

Le propos ici n’est pas de désigner dans une vindicte stérile le ou les responsables, car à notre avis en ce domaine nous le sommes tous.
Nous irons même jusqu’à dire croyants et non-croyants !
Deux termes un peu "fourre-tout" à vrai dire, tant dans chacune de ces catégories il y a des motivations, des besoins, des aspirations, des idéologies même, bien différentes.

Les églises de nos villages, très au-delà de la foi, restent un "bien commun" ; un repaire rassurant ; une "mémoire collective" ; une identité.
Qui n’y passe pas un jour, même encore une fois les non-croyants, ne serait-ce que pour l’enterrement d’un ami, d’une connaissance ou d’un membre de sa famille ?

Quand le bâtiment d’une église est en péril, on entend trop souvent dans nos communautés catholiques locales :"mais que fait la Mairie ?".

Mais nous catholiques, pratiquants ou non, premiers bénéficiaires et utilisateurs des lieux, n’aurions-nous que des droits et aucuns devoirs ?

Encore une question posée !

Cependant pour y répondre, il nous parait nécessaire, voir indispensable, de s’en être posé une autre au préalable :"dans le fond, c’est quoi une paroisse ?".

Dans son livre "Paroisses, réveillez-vous !" (Éditions de l’Emmanuel), Monseigneur REY écrit (p.59) :
"Le canon 515 du Code de Droit canonique invite à considérer la paroisse d’abord comme une communauté sacramentelle. On ne peut donc pas se contenter d’une dimension géographique si l’on ne crée pas les conditions d’existence d’une véritable communauté théologale, eucharistique et confessante. D’où la nécessité de créer des pôles paroissiaux…..et signifier la présence conséquente des chrétiens au cœur du monde.)

Donc c’est d’abord "une communauté sacramentelle", communautairement priante, qui doit amener à  "une présence plus conséquente des chrétiens au cœur du monde" et plus volontaire peut-on ajouter.

Volontaire ?
Le sommes-nous réellement au point de saisir nous-même une partie des besoins conséquents de certains de nos bâtiments, non pas comme un confort égoïste et seulement esthétique, mais comme une des marques d’une communauté vivante et par là, évangélisatrice.

Car ne nous y trompons pas, il ne s’agit pas tant ici de sauver simplement des "chefs-d’œuvres en périls", pour un nombre parfois restreint d’usagers élitistes, mais bien plutôt de rendre témoignage de la vivacité d’un peuple qui accepte de se laisser conduire par l’Esprit Saint.

Nous attendons beaucoup des autres mais nous demandons-nous ce que les autres attendent de nous ?

A vos commentaires et réponses !
Nous donnerons une réponse plus personnelle la semaine prochaine.

 

7 octobre 2017

MESSES ET CÉLÉBRATIONS pour la TOUSSAINT 2017

 

MESSES ET CÉLÉBRATIONS pour la   TOUSSAINT 2017

 

 

Mercredi 1er Novembre TOUSSAINT

 

LUCERAM

9 HEURES    Prière au cimetière du haut du village, suivie de la bénédiction des   tombes

9 HEURES 30 Messe en la chapelle Madona   Routa, suivie de la bénédiction du cimetière du bas

L’ÉSCARÈNE

10 HEURES 30 Messe par le Père Jean-Louis Gazzaniga, suivie de la bénédiction des cimetières

BLAUSASC

14 HEURESS Messe par le Père J. Ziobron,   suivie de la bénédiction du cimetière

 

JEUDI 2 NOVEMBRE (Commémoration des défunts)

 

SAINTE   THÈCLE

9 HEURES 30 Messe par le Père J.   Ziobron, suivie de la bénédiction du cimetière

PEILLON

11 HEURES 30 Prière au cimetière, suivie   de la bénédiction des tombes

TOUET   DE L’ÉSCARÈNE

13 HEURES 45 Prière au cimetière, suivie   de la bénédiction des tombes

LA   GRAVE DE PEILLE

15 HEURES 30 Prière au cimetière, suivie   de la bénédiction des tombes

22 septembre 2017

Evangéliser...

17_09_24_rentree

Annoncer la bonne nouvelle, sans prosélitisme acharné, mais par notre vie d'aujourd'hui, là où on est, là où on en est, éclairé par l'Evangile de Jésus, conscient d'être pêcheur mais mué par le désir profond d'Amour, de Paix, dans l'espérance indéflectible et la certitude que nous sommes TOUS aimés de Dieu!!!!

2 septembre 2017

Chers amis, comme vous le savez peut-être déjà,

Chers amis, comme vous le savez peut-être déjà, nous accueillons un nouveau Curé dans notre paroisse, le Père Joseph ZIOBRON qui nous vient de Valauris.

Ceci explique que nous ne diffusons les horaires de messes que jusqu'au 17 septembre
(page "Horaires des Messes et Célébrations")
afin de lui laisser le temps de s'installer et de voir par
lui-même comment il souhaite organiser son Ministère.

Nous le recevrons très bientôt afin de vous le présenter plus en détail et nous lui souhaitons dès à présent la bienvenue au nom de tous!

19 août 2017

Eglise verte

 

Ecologie: L’Osservatore Romano salue le Label Église verte

Une initiative oecuménique française

Le nouveau label français “Eglise verte” est salué par L’Osservatore Romano en italien du 9 août 2017 comme une “initiative oecuménique” pour une “conversion écologique”.

 

Au terme du Jour du dépassement des ressources planétaires, “Earth Overshoot Day”, le 2 août dernier, la Conférence épiscopale française, la Fédération protestante de France, l’assemblée des évêques orthodoxes de France et le Conseil des Eglises chrétiennes de France ont annoncé la création d’un Label Église verte pour le 16 septembre à Paris, pour la Journée nationale de l’environnement, explique le quotidien du Vatican.

 

Il s’agit, souligne le quotidien, d’arriver à une “conversion écologique” des paroisses, en utilisant le moins possible d’énergie, en créant un “jardin partagé”, en multipliant les homélies sur le thème du respect de la création.

 

La Conférence des évêques de France, précise qu’en septembre 2017 on fêtera les 10 ans du Temps pour la Création, action œcuménique officialisée au rassemblement œcuménique de Sibiu.

 

C’est à cette occasion que les Églises chrétiennes en France lanceront le Label Église Verte: “un outil national à destination des paroisses et communautés locales visant à favoriser leur conversion écologique”. Le CCFD-Terre solidaire, le Secours Catholique, le CERAS, A Rocha, et A.V.E.C. contribuent à sa  mise en place.

 

Le label sera lancé lors d’une Journée nationale Eglise vertele samedi 16 septembre à Paris. Les représentants des Eglises, paroisses, communautés locales y sont invités, ainsi que les représentants de mouvements chrétiens et les délégués diocésains à l’écologie intégrale.

 

Cette journée permettra à chacun de :

 

  • relier engagement écologique et foi chrétienne grâce à une table-ronde oecuménique (F. Euvé, M. Egger, M. Kopp)

  • découvrir l’outil (testé mi 2017 auprès de 10 Eglises locales),

  • échanger en atelier avec des Eglises ayant entamé une démarche et visiter des expériences de terrain

  • rencontrer des délégués diocésains à l’écologie intégrale

  • découvrir des grands témoins d’églises européennes engagées de longue date

  • Programme et inscription sur Egliseverte.org

 

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