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Paroisse St Pierre-St Paul
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27 mars 2013

Diaporama de la sortie des enfants du catéchisme CM1/CM2 du 13 Mars 2013, à l'Evêché.

(cliquez sur ce lien pour voir le diaporama)

 

http://www.kizoa.fr/diaporama/d4232103kP75794682o2/sortie-cm1-cm2

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20 mars 2013

Homélie du Pape François, pour l'inauguration de son ministère, en la Solennité de Saint Joseph à Rome.

19/mars/2013 11:35

Chers frères et sœurs !

Je remercie le Seigneur de pouvoir célébrer cette Messe de l’inauguration de mon ministère pétrinien en la solennité de saint Joseph, époux de la Vierge Marie et Patron de l’Église universelle : c’est une coïncidence très riche de signification, et c’est aussi la fête de mon vénéré Prédécesseur : nous lui sommes proches par la prière, pleins d’affection et de reconnaissance (applaudissements).

Je salue avec affection les Frères Cardinaux et Évêques, les prêtres, les diacres, les religieux et les religieuses et tous les fidèles laïcs. Je remercie de leur présence les représentants des autres Églises et Communautés ecclésiales, de même que les représentants de la communauté juive et d’autres communautés religieuses. J’adresse mon cordial salut aux Chefs d’État et de Gouvernement, aux Délégations officielles de nombreux pays du monde et au Corps diplomatique.

Nous avons entendu dans l’Évangile que « Joseph fit ce que l’ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse » (Mt 1, 24). Dans ces paroles est déjà contenue la mission que Dieu confie à Joseph, celle d’être custos, gardien. Gardien de qui ? De Marie et de Jésus ; mais c’est une garde qui s’étend ensuite à l’Église, comme l’a souligné le bienheureux Jean-Paul II : « Saint Joseph a pris un soin affectueux de Marie et s’est consacré avec joie à l’éducation de Jésus Christ, de même il est le gardien et le protecteur de son Corps mystique, l’Église, dont la Vierge sainte est la figure et le modèle » (Exhort. apost. Redemptoris Custos, n. 1).

Comment Joseph exerce-t-il cette garde ? Avec discrétion, avec humilité, dans le silence, mais par une présence constante et une fidélité totale, même quand il ne comprend pas. Depuis son mariage avec Marie jusqu’à l’épisode de Jésus, enfant de douze ans, dans le Temple de Jérusalem, il accompagne chaque moment avec prévenance et avec amour. Il est auprès de Marie son épouse dans les moments sereins et dans les moments difficiles de la vie, dans le voyage à Bethléem pour le recensement et dans les heures d’anxiété et de joie de l’enfantement ; au moment dramatique de la fuite en Égypte et dans la recherche inquiète du fils au Temple ; et ensuite dans le quotidien de la maison de Nazareth, dans l’atelier où il a enseigné le métier à Jésus.

Comment Joseph vit-il sa vocation de gardien de Marie, de Jésus, de l’Église ? Dans la constante attention à Dieu, ouvert à ses signes, disponible à son projet, non pas tant au sien propre ; et c’est cela que Dieu demande à David, comme nous l’avons entendu dans la première Lecture : Dieu ne désire pas une maison construite par l’homme, mais il désire la fidélité à sa Parole, à son dessein ; c’est Dieu lui-même qui construit la maison, mais de pierres vivantes marquées de son Esprit. Et Joseph est « gardien », parce qu’il sait écouter Dieu, il se laisse guider par sa volonté, et justement pour cela il est encore plus sensible aux personnes qui lui sont confiées, il sait lire avec réalisme les événements, il est attentif à ce qui l’entoure, et il sait prendre les décisions les plus sages. En lui, chers amis, nous voyons comment on répond à la vocation de Dieu, avec disponibilité, avec promptitude, mais nous voyons aussi quel est le centre de la vocation chrétienne : le Christ ! Nous gardons le Christ dans notre vie, pour garder les autres, pour garder la création !

La vocation de garder, cependant, ne nous concerne pas seulement nous les chrétiens, elle a une dimension qui précède et qui est simplement humaine, elle concerne tout le monde. C’est le fait de garder la création tout entière, la beauté de la création, comme il nous est dit dans le Livre de la Genèse et comme nous l’a montré saint François d’Assise : c’est le fait d’avoir du respect pour toute créature de Dieu et pour l’environnement dans lequel nous vivons. C’est le fait de garder les gens, d’avoir soin de tous, de chaque personne, avec amour, spécialement des enfants, des personnes âgées, de celles qui sont plus fragiles et qui souvent sont dans la périphérie de notre cœur. C’est d’avoir soin l’un de l’autre dans la famille : les époux se gardent réciproquement, puis comme parents ils prennent soin des enfants et avec le temps aussi les enfants deviennent gardiens des parents. C’est le fait de vivre avec sincérité les amitiés, qui sont une garde réciproque dans la confiance, dans le respect et dans le bien. Au fond, tout est confié à la garde de l’homme, et c’est une responsabilité qui nous concerne tous. Soyez des gardiens des dons de Dieu !

Et quand l’homme manque à cette responsabilité, quand nous ne prenons pas soin de la création et des frères, alors la destruction trouve une place et le cœur s’endurcit. À chaque époque de l’histoire, malheureusement, il y a des « Hérode » qui trament des desseins de mort, détruisent et défigurent le visage de l’homme et de la femme.

Je voudrais demander, s’il vous plaît, à tous ceux qui occupent des rôles de responsabilité dans le domaine économique, politique ou social, à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté : nous sommes « gardiens » de la création, du dessein de Dieu inscrit dans la nature, gardiens de l’autre, de l’environnement ; ne permettons pas que des signes de destruction et de mort accompagnent la marche de notre monde ! Mais pour « garder » nous devons aussi avoir soin de nous-mêmes ! (Applaudissements) Rappelons-nous que la haine, l’envie, l’orgueil souillent la vie ! Garder veut dire alors veiller sur nos sentiments, sur notre cœur, parce que c’est de là que sortent les intentions bonnes et mauvaises : celles qui construisent et celles qui détruisent ! Nous ne devons pas avoir peur de la bonté, et même pas non plus de la tendresse !

Et ici j’ajoute alors une remarque supplémentaire : le fait de prendre soin, de garder, demande bonté, demande d’être vécu avec tendresse. Dans les Évangiles, saint Joseph apparaît comme un homme fort, courageux, travailleur, mais dans son âme émerge une grande tendresse, qui n’est pas la vertu du faible, mais au contraire, dénote une force d’âme et une capacité d’attention, de compassion, de vraie ouverture à l’autre, d’amour. Nous ne devons pas avoir peur de la bonté, de la tendresse ! (Applaudissements)

Aujourd’hui, en même temps que la fête de saint Joseph, nous célébrons l’inauguration du ministère du nouvel Évêque de Rome, Successeur de Pierre, qui comporte aussi un pouvoir. Certes, Jésus-Christ a donné un pouvoir à Pierre, mais de quel pouvoir s’agit-il ? À la triple question de Jésus à Pierre sur l’amour, suit une triple invitation : sois le pasteur de mes agneaux, sois le pasteur de mes brebis. N’oublions jamais que le vrai pouvoir est le service et que le Pape aussi pour exercer le pouvoir doit entrer toujours plus dans ce service(applaudissements) qui a son sommet lumineux sur la Croix ; il doit regarder vers le service humble, concret, riche de foi, de saint Joseph et comme lui, ouvrir les bras pour garder tout le Peuple de Dieu et accueillir avec affection et tendresse l’humanité tout entière, spécialement les plus pauvres, les plus faibles, les plus petits (applaudissements), ceux que Matthieu décrit dans le jugement final sur la charité : celui qui a faim, soif, est étranger, nu, malade, en prison (cf. Mt 25, 31-46). Seul celui qui sert avec amour sait garder !

Dans la deuxième Lecture, saint Paul parle d’Abraham, qui « espérant contre toute espérance, a cru » (Rm 4, 18). Espérant contre toute espérance ! Aujourd’hui encore devant tant de traits de ciel gris, nous avons besoin de voir la lumière de l’espérance et de donner nous-mêmes espérance. Garder la création, tout homme et toute femme, avec un regard de tendresse et d’amour, c’est ouvrir l’horizon de l’espérance, c’est ouvrir une trouée de lumière au milieu de tant de nuages, c’est porter la chaleur de l’espérance ! Et pour le croyant, pour nous chrétiens, comme Abraham, comme saint Joseph, l’espérance que nous portons a l’horizon de Dieu qui nous a été ouvert dans le Christ, est fondée sur le rocher qui est Dieu.

Garder Jésus et Marie, garder la création tout entière, garder chaque personne, spécialement la plus pauvre, nous garder nous-mêmes : voici un service que l’Évêque de Rome est appelé à accomplir, mais auquel nous sommes tous appelés pour faire resplendir l’étoile de l’espérance : gardons avec amour ce que Dieu nous a donné !

Je demande l’intercession de la Vierge Marie, de saint Joseph, des saints Pierre et Paul, de saint François, afin que l’Esprit Saint accompagne mon ministère et je vous dis à tous : priez pour moi ! Amen.

 

Pape François

13 mars 2013

HABEMUS PAPAM

13 mars 2013

Fumée blanche...

8 mars 2013

Le mot du curé -mars 2013-

 

Chers lecteurs

 

Je voudrais un Pape… qui soit …

 

Quand il s agit de nouvelles importantes, tous les médias internationaux se précipitent pour avoir l’exclusivité de l’information et la communiquer avec le plus de piquant possible. C’est bien ce qui fait frémir nos journalistes actuels, ils n’ont finalement pas grand-chose à dévoiler sur l’annonce de la démission de notre saint Père Benoît XVI et l’élection du nouveau Pape ou même l’ouverture du conclave.

Ce monde s’intéresse-t-il tant à l’Eglise catholique ? N’est-elle pas pourtant montrée du doigt régulièrement ? De plus, nos cardinaux reçoivent des consignes de votes de la part de penseurs actuels, serait-ce au monde de dicter à l’Eglise ce qu’Elle doit faire ? Mais pourquoi tant d’excitation autour de l’Eglise de Jésus Christ ? Et puis, qui est ressuscité en fin de compte ? Qui a les paroles de la vie éternelle ? Le monde ou le Christ ? Qui devons-nous suivre ? Qui nous fait vraiment vivre ? Qui nous donne la véritable espérance ?

 

Oui, nous (l’Eglise), devons entendre les questions fondamentales des hommes d’aujourd’hui mais comment y répondre n’appartient pas au mouvement d’humeurs même intelligent des sociétés. Je voudrais rappeler que c’est l’Eglise du Christ et donc que c’est le Saint Esprit qui guide nos cœurs, nos âmes. La puissance de l’Esprit à permis de maintenir l’Eglise jusqu’à aujourd’hui pour le service des hommes et la gloire de Dieu devant qui nous nous retrouverons tôt ou tard.

 

Je suis surpris de voir, d’entendre et lire que tel cardinal ou tel autre n’a pas sa place au conclave ou ne doit pas être élu. Dans notre monde, qui peut dire être sans fautes, sans péchés ? Le pardon, la miséricorde ne peuvent-ils être accordés qu’aux personnes pures ? Mais dans ce cas à quoi sert le pardon ? Il y a-t-il donc des personnes qui ont le droit de juger et condamner d’autres personnes ?

 

Il est facile de juger, il est beau de pardonner. Je reçois des personnes quotidiennement qui ont besoin de se savoir pardonnée, aimée, devrais-je les renvoyer ou les condamner ?

 

Jésus est mort sur la Croix pour nous sauver, nous pardonner. Il dit même à un des truands crucifié à ses cotés qu’il sera avec lui dans son paradis. L’Eglise est là pour donner l’Evangile du Christ, continuer Son œuvre sur la terre. Quelque soit notre nouveau Pape, nous devons lui assurer notre prière et notre affection.

 

Ce qui est nécessaire aujourd’hui, c’est de prier pour que nos cardinaux puissent être en paix dans leur cœur. Qu’ils soient épargnés des pressions internes ou externes à l’Eglise pour pouvoir choisir en conscience celui qui recevra la charge de serviteur des serviteurs, le nouveau Pontife.

 

Prenons exemple sur notre Pape émérite Benoît XVI qui a assuré à son successeur qu’il lui serait totalement obéissant. Benoît XVI, dernière audience :

"La barque de l'Eglise n'est pas la mienne, n'est pas la nôtre, mais du Seigneur. Il ne la laissera pas couler."

 

Nous sommes dans l'Année de la Foi, que j'ai voulu pour renforcer notre foi en Dieu dans un contexte qui semble le mettre de plus en plus en second plan. Je voudrais tous vous inviter à renouveler la confiance solide dans le Seigneur, à vous confier comme des enfants dans les bras de Dieu, certains que ces bras nous soutiennent toujours et sont ce qui nous permet de marcher tous les jours, même dans la difficulté. Je voudrais que chacun puisse se sentir aimé par ce Dieu qui nous a donné son Fils et nous a montré son amour sans limites.

«Je t’adore, mon Dieu, Je t'aime de tout mon cœur. Je te remercie de m'avoir créé, fait chrétien".

 

 


 


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1 mars 2013

MESSES DE LA SEMAINE SAINTE ET PÂQUES.

 

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DIMANCHE DES RAMEAUX

24 mars 2013

Bénédiction des Rameaux à l'Escarène, devant l'église à 10 heures 30, suivie d'une procession jusqu'au jardin d'enfant où sera célébrée la Messe (sauf en cas de pluie)

Autres messes: Samedi 23 à 17 heures à Touët de l'Escarène et Dimanche 24 à 9 heures à Blausasc.

 

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 JEUDI SAINT

28 mars 2013

Messe unique à 20 heures à La Grave de Peille

Célébration de la Sainte Cène avec Lavement des Pieds, suivie de l'exposition de Saint Sacrement.

 

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VENDREDI SAINT

29 Mars

Chemin de Croix à la Maison de Retraite les Oliviers de l'Escarène à 11 heures

Chemin de Croix à la chapelle Saint Pierre de Lucéram à 15 heures

20 heures, Grand Office de la Passion à Blausasc

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VEILLEE PASCALE

Samedi 30 Mars à 20 heures 30 à l'Escarène

Bénédiction du feu sur la place, procession et grande Messe de la Vigile Pascale

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DIMANCHE DE PÂQUES

31Mars

 7 heures à Peira Cava, Messe du matin

 9 heures à Sainte Thècle, Messe de Pâques

11 heures à l'Esacarene, Messe de Pâques

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